Les Plaisirs du Bourg
Datte: 19/01/2020,
Catégories:
fh,
ff,
fff,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
Lesbienne
... somme toute pour ne pas trop contraster avec les atours sombres portés par la Comtesse. Elle enfile prestement ses bottines, fourre quelques vêtures dans un sac en cuir et interroge Kirsten pour savoir si elle doit ou non emporter une pèlerine de cavalière. — Cela ne coûte rien d’en rouler une, comme moi, derrière ta selle, on ne sait jamais. Il fait beau temps désormais, mais peut-être demain en sera-t-il autrement ? Par contre, il me semble que tu as oublié quelque chose de plus important ! Soren fait la moue en récapitulant mentalement l’inventaire de son équipement : — Non, vraiment, je ne vois pas, j’ai tout ce qu’il me faut, y compris une escarcelle bien rebondie…— Tu n’as rien oublié vraiment ? Tu trouves donc normal qu’une noble dame se promène cul nu comme les gueuses ?— Oh sotte ! Il ne s’agit que de cela, s’exclame en riant Soren soulagée. Tu m’as fait peur ! La comtesse joue les indignées. — Ah parce que tu trouves cela normal donc !— Oh, je t’en prie, ne me dis pas que tu supportes ces chausses, qui non contentes d’être hideuses, nous piquent, nous grattent et nous démangent ! Alors oui, aussi souvent que c’est possible, je m’en passe, moi, de ces chausses !— Et ton galant n’y trouve rien à redire ?— Karl ? Bien au contraire ! Il apprécie de me trouver… directement accessible lorsqu’il me trousse en douce.— Von Walsenhütt, mais quel débauché ! minaude Kirsten— Pas plus qu’un autre, il est homme, voilà tout ! Et ton Werner ne doit pas être si différend que je ...
... gage n’être pas la seule ici à me promener cul nu ! Affichant un air de parfaite innocence, Kirsten feint de chercher à droite et à gauche et même au plafond qui, dans la pièce, pourrait bien être concerné par cette insinuation… Complices, les deux jeunes femmes rient de ce manège. — Bien, il se serait bon que nous bougions maintenant. Nos montures nous attendent ! Montées comme il se doit en amazone sur leurs chevaux, les belles dames traversent dignement la cour du château, suivies par leur escorte. Au village, elles saluent aimablement les manants rencontrés, mais sitôt hors de vue, les donzelles, avec un bel ensemble, troussent leurs robes, passent à califourchon et piquent leurs pur-sang. Leurs puissants destriers ont tôt fait de distancer les haridelles poussives de leur escorte et les deux femmes galopent en tête dans la campagne, se grisant de vitesse et s’enivrant des multiples parfums d’herbe tendre et de fleurs nouvellement écloses. Libres, elles retrouvent l’insouciance de leur enfance, quand échappant à la surveillance de leurs nourrices, les deux gamines couraient dans la lande en hurlant toutes les injures, tous les gros mots qu’elles avaient glanés en furetant dans les couloirs de leurs manoirs. Des mots interdits et donc savoureux, dont elles ne connaissaient pour la plupart qu’un sens très édulcoré ou approximatif. Le concours n’en est que plus drôle maintenant qu’elles en connaissent les significations réelles. Le petit jeu dure jusqu’aux abords de Colmar. Les ...