1. Les Plaisirs du Bourg


    Datte: 19/01/2020, Catégories: fh, ff, fff, Masturbation intermast, Oral pénétratio, Lesbienne

    ... un agacements sur ses mamelons lui arrachaient des soupirs et petits cris de surprise et de bonheur. Üscheni se demanda même si elle n’allait pas atteindre le plaisir sous ces seules caresses. Un incroyable incendie se répandait entre ses cuisses, enflammait son ventre et sa chatte, un feu grégeois que sa mouille ne faisant qu’attiser. Impatiente, haletante, elle faillit plonger sa main entre ses cuisses qu’elle ouvrait désormais généreusement, mais le genou de Seppi vint brusquement en bloquer l’accès. L’homme s’était habilement débarrassé de ses chausses sans qu’elle s’en soit rendu compte, et le contact de ce genou oppressant, de cette cuisse poilue sur son bouton ardent, son sexe inondé, ces pressions régulières à l’unisson de son désir montant, l’emportèrent brutalement ; toutes digues rompues, le plaisir déferla en elle, la surprenant, la saisissant tout entière pour la projeter dans les étoiles, la chavirer en tous sens, la tournebouler à l’infini. Üscheni avait joui, longtemps, puissamment, interminablement… Plus tard, bien après qu’elle eut repris ses esprits et se soit calmée, Seppi avait su réveiller son désir et renouveler son plaisir, le partageant alors avec elle. Üscheni avait découvert d’autres caresses, d’autres bonheurs et en avait conçu une infinie tendresse, teintée de reconnaissance pour ce petit homme replet et disgracieux qui l’ouvrait à d’autres horizons, l’emportait vers des paradis insoupçonnés. Le lendemain, dès qu’elle l’avait pu, elle s’était ...
    ... échappée du logis pour le retrouver. Ne disposant que de peu de temps, leur corps à corps avait été plus tumultueux que la veille, plus brutal, mais tout aussi enivrant. Et cet après-midi encore, sous les frondaisons, Seppi lui a fait découvrir d’autres de ses talents. Üscheni se découvre avide, ensorcelée, impudique et insatiable. Accroupie sur ses talons, elle observe son amant allongé dans l’herbe, encore étourdi par leurs jeux. Attendrie, elle s’amuse de son sexe à cet instant rétréci, si tant recroquevillé qu’il paraît plus ridicule que le minuscule robinet d’un tonnelet de schnaps. Elle sourit à son ventre imposant, ses seins rebondis comme ceux d’une gamine de douze ans. Seppi ne tient pas la comparaison avec le Charri, il est loin d’avoir son corps de paysan solide, de fier-à-bras, de bravache ; et au meilleur de sa forme, le pauvre Seppi ne peut exhiber un mandrin aussi impressionnant que celui de son mari! Mais il est si malin, si adroit, et si tendre… Marchant à quatre pattes, elle s’approche de son amant somnolant sous le soleil, et se glisse doucement entre ses jambes écartées. Un tourbillon de vent lui ramène alors au nez une odeur épouvantable, âcre, un parfum de charogne. Inquiète, la jeune femme se redresse en direction des effluves malsains, scrute du regard les herbes qui ondulent et repère une nuée de mouches bleues. Se levant doucement, elle ramasse son sayon qu’elle plaque contre son torse pour masquer sa nudité, et s’avance lentement en direction du ...