1. Miss Ouaga s'en donne à coeur joie


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fffh, fplusag, jeunes, couleurs, inconnu, enceinte, gros(ses), grosseins, groscul, anniversai, Collègues / Travail noculotte, fist, humour, québec, bourge,

    Jeune serveur de restaurant, fêtant le jour même mes dix-huit ans, j’ai été mandaté pour servir dans une soirée privée à la maison de mon patron, où Madame recevait des invitées de marque. (Suite des récits n° 12350 et 12371) — Viens Alex, que je te présente à Miss Ouaga. Elle vient du Burkina-Faso… Tu sais où se trouve ce pays ? Avant de lui répondre, j’ai regardé Miss Ouaga. Habillée d’un boubou deux pièces, jupe et corsage multicolores, cette femme était tout simplement énorme. Elle devait bien faire dans les cent kilos, sinon plus. Ses bras étaient aussi gros que ma tête et son cou presque inexistant tant son menton débordait sur ses épaules. Une paire de seins énormes qui lui pendaient jusqu’au nombril, et des lèvres charnues comme je n’en avais jamais vues. Elle était toute en sueur du simple fait de s’être levée de son fauteuil pour me saluer, l’eau dégoulinait de son visage et allait se perdre dans la raie de sa poitrine, créant ainsi un petit ruisseau entre ses seins qui se balançaient de gauche à droite lorsqu’elle bougeait. — Bonjour Miss Ouaga ! Pour répondre à la question de Miss Laval, je ne suis pas certain mais je crois que votre pays se trouve au sud-ouest du Mali avec une pointe qui descend vers la mer entre le Ghana et le Bénin.— Un génie de la géographie ! Serais-tu déjà venu à Ouaga ?— Non, M’dame, mais j’adore savoir où les choses se trouvent.— C’est bien, ça ! Tu connais aussi les coutumes de mon pays ?— Non… pas vraiment…— Alors viens que je te fasse ...
    ... la bise… Les Québécois en donnent deux, les Français trois, dans mon pays on en donne quatre, deux sur chaque joue… Mais moi, lorsque je viens au Canada, je veux un cinquième bisou, question de profiter du voyage… Je me suis alors approché d’elle, m’attendant à lui baiser les joues cinq fois, mais après la quatrième, elle m’a pris la tête et a enfoui sa langue dans ma bouche, me roulant une pelle d’enfer. Sa rage apaisée, j’ai pu alors reprendre mon souffle et mon service avec un goût d’épices et de sueur sur les lèvres. Me voyant quitter la salle pour aller lui servir une coupe de champagne et remplir celles de Miss Laval et de Miss Kyoto qui venait tout juste de refaire son apparition, Miss Ouaga a ajouté, en direction Miss Laval : — S’il bouffe de la chatte aussi bien qu’il embrasse, je vais me régaler moi ! Les coupes bien remplies, le téléphone se fit entendre. Bonjour, de répondre Miss Laval. Heureuse de savoir cela… On vous attend, mais faites vite, car le champagne coule à flots ici. C’est ça, à plus tard… — Miss London et Miss Paris viennent tout juste d’arriver à l’hôtel. Le temps de prendre une douche et elles seront des nôtres, nous dit-elle ensuite. Resservant copieusement du champagne à Miss Ouaga et sagement à Miss Kyoto et Miss Laval, la première bouteille a vite été reléguée aux oubliettes et la deuxième mise à moitié dans le temps de le dire. — Alex… Sers-nous quelques bouchées, s’il te plaît, le temps que ces deux princesses nous rejoignent. Une assiette ...
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