1. Miss Ouaga s'en donne à coeur joie


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fffh, fplusag, jeunes, couleurs, inconnu, enceinte, gros(ses), grosseins, groscul, anniversai, Collègues / Travail noculotte, fist, humour, québec, bourge,

    ... si différente de celles que j’avais connues jusqu’à ce jour. Une idée alors m’est venue…Si je lui enfonce au fond de la chatte deux ou trois doigts et si je lui prends la rosette avec mon pouce, elle va littéralement « capoter ». Elle n’a pas pris une minute à réagir à l’intrusion d’un, deux, trois puis finalement quatre doigts au fond de sa moule si mouillée que j’en aurais fait entrer encore tout autant sans aucune difficulté. En ressortant pour la nième fois mes doigts de sa chatte, j’ai alors présenté mon pouce à sa rosette. — Oh oui, mets-le-moi dans le cul… OH OUI… au fond du cul… Pousse… Bouge toute ta main… encore… encore… j’aime ça… encore… Pensant que son point G devait se trouver juste à l’arrière de mon majeur, j’ai pris sur moi de plier ce dernier et d’ainsi appuyer fortement sur cette petite olive. — Oh… Pas ça… Pas le point G… Pas le point G… Oh que c’est bon le point G… Continuant quelque temps ce manège, je la sentais décoller tout doucement. — Mets-y toute la main maintenant…— Toute la main ? Mais je ne crois pas que ça va entrer ?— T’occupe pas… Mets-la-moi dedans… Mets-moi toute ta main dans la chatte… J’ai alors ressorti mon pouce de son petit trou et l’ai inséré au creux de ma main, poussant doucement le tout à l’intérieur de son con. CHICH… Mais ça rentrait comme dans du beurre ! Je n’avais jamais vu ça. J’y étais maintenant jusqu’au poignet, et cette Africaine qui beuglait son plaisir de se faire ainsi labourer le ventre de ma main à demi-fermée ! — ...
    ... Allez, ferme bien le poing afin que ça soit plus encore gros et laboure-moi solidement maintenant, d’ajouter Miss Ouaga. Je lui pistonnais la chatte, poing fermé, entrant et ressortant à un rythme d’enfer. Comme si ça avait été fait pour se faire défoncer par une mailloche aussi grosse, cette grosse femme gémissait, criait et beuglait son plaisir. Elle finit par rendre l’âme dans un gémissement caverneux, expurgeant tout l’air qui se trouvait dans ses poumons en un grand OUIIIIIIIIIIIIII…, m’inondant le bras jusqu’au coude du jus de son plaisir. Ce dont je ne m’étais pas aperçu, c’est que Miss Ouaga, pendant que j’étais occupé à l’étage inférieur, avait dégagé sa poitrine et se pétrissait elle-même les seins, malmenant ses tétons au point d’en éjecter de longs jets de lait maternel en même temps qu’elle criait son plaisir. À peine remise de ses émotions qu’elle s’est levée, regardant l’énorme quantité de lait répandue partout sur son gros ventre et dit simplement : — Beau dégât… Elle s’est alors dégagée de mon poing toujours fiché en elle et s’est dirigée vers la salle de bain du rez-de-chaussée, pestant de devoir se laver le haut du corps maculé de lait ainsi que la chatte et les cuisses, devenues toute collantes de ses sécrétions personnelles. — Mais tu as vu ce qu’il m’a fait, ce petit vicieux… J’ai tellement joui que mes grosses mamelles se sont mises à pisser le lait comme on pisse au petit matin… Quel gâchis ! Dire que j’aurais pu donner le sein à mon petit dernier et ...