1. Miss Ouaga s'en donne à coeur joie


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fffh, fplusag, jeunes, couleurs, inconnu, enceinte, gros(ses), grosseins, groscul, anniversai, Collègues / Travail noculotte, fist, humour, québec, bourge,

    ... cinquième, le gros porc…— Les filles, passons à table, coupa Miss Laval en affirmant qu’elle avait un petit creux.— Moi j’en ai un énorme, d’ajouter Miss Ouaga, provoquant le rire de toutes ces dames.— Alex… Que nous sers-tu en entrée ? me demanda Miss London.— LUI, répondit Miss Ouaga à ma place.— Miss Ouaga ! Vous n’en manquez jamais une vous… Alex ?— Entrée de moules, huîtres et crevettes en sauce à la poudre d’os.— Wow, beaucoup de travail pour toi ce soir, mon beau jeune homme. Tu nous sers le summum des aphrodisiaques. Ne sachant pas quoi répondre à cette observation, je suis demeuré muet, au grand rire de Miss Laval elle-même. — Allez, petit, sers-nous. Tu comprendras plus tard. Je me suis alors dirigé à la cuisine, disposant dans les assiettes une généreuse portion de chacun de ces fruits de mer exotiques. (Il ne faut pas oublier que nous étions en 1972… On en a fait du chemin avec notre cuisine québécoise depuis !) Revenant avec les cinq assiettes en main, j’ai commencé par servir Miss Kyoto qui, d’après moi, avait largement mérité cette attention particulière, puis les autres selon leur position à table. Les assiettes à peine disposées, Miss Ouaga a laissé tomber sa fourchette par terre. Voyant qu’avec son énorme ventre, elle ne pourrait certainement pas la ramasser et que, pour ce faire, il me fallait aller sous la table, je n’ai eu d’autre choix que d’y entrer du côté opposé à cette grosse dame qui, prenant tout l’espace disponible de son côté, ne me laissait ...
    ... guère le choix. À peine ma tête passée sous la nappe, Miss Ouaga, écartant bien larges ses jambes afin que je puisse voir au plus profond de son corps, m’a fait signe du doigt de me rapprocher d’elle, tout en repoussant du pied la fourchette hors de ma portée. En moins de deux, je me suis retrouvé nez à nez avec une chatte africaine, toute noire, aux lèvres roses de feu, juteuse et déjà dégoulinante de désir. — Vas-y mon petit, lèche-moi là où j’ai le goût de prendre mon plaisir… Sans vraiment avoir envie de me mettre la bouche à cette caverne poisseuse, j’ai quand même approché la main, cherchant le bouton d’amour qui la ferait virer de l’œil en moins de deux et me permettrait ainsi de me dégager de cette drôle de mission le plus rapidement possible. Mal m’en prit de n’y trouver qu’un amas de chair informe, comme si on y avait fait exploser le but de mes recherches. Alors, après un soupir de la part de Miss Ouaga, je l’ai entendue me dire : — Ne cherche pas de clito chez moi, jeune homme. En Afrique, depuis aussi longtemps que l’homme se souvient d’être homme, la coutume veut que chaque jeune fille, dès son bas âge, se voit excisée et ce, avant même d’avoir connu son premier plaisir. Alors, si tu veux me faire décoller, vas-y directement à l’intérieur. Ne ménage aucun effort car la sensibilité perdue au clito d’une Africaine se transfère dans toutes les parties de son vagin qui s’en retrouve d’une sensibilité décuplée. Je me suis alors concentré à doigter fermement cette femme, ...