La Muse (11)
Datte: 23/01/2020,
Catégories:
Hétéro
Avril 2006 - Début d’une nouvelle vie Cette pose régénératrice et instructive arriva à point nommé ; je commençais à avoir faim et soif. — Jen, champagne ? Tu le mérites largement, proposa Bruno. — Avec plaisir, merci. Il me servit pendant que Cécile était partie faire chauffer des pizzas. La conversation s’engagea tout naturellement ; Cécile lui avait parlé de mes problèmes de cœur. Pour la première fois, j’en parlais sans haine et me sentais même soulagée de m’être ainsi ouverte. Cécile, qui nous avait rejoints, s’installa tout naturellement à côté de moi, assise en tailleur. Tout en prenant part à la conversation, elle nous invita à nous servir. Ils étaient tous les deux convaincus que je devais prendre le temps et profiter de la vie. Malgré le fait qu’ils soient de deux ans mes aînés, ils m’expliquèrent que leur amour datait depuis longtemps, bien avant l’adolescence, et que leur amour avait grandi avec le temps. — Tu vas retrouver un mec, c’est certain, m’avait dit Bruno. Une jolie fille comme toi ne peut pas rester sans quelqu’un. En tout cas, je peux te dire que ton Bruno est un imbécile de t’avoir jetée ainsi. — Ne t’inquiète pas pour lui ni pour la Caro : je m’en chargerai en temps et heure. — Si tu veux un coup de main, ma belle, ce sera avec plaisir. Autant je suis douce, gentille et calme, que si l’on me cherche ou qu’on fasse du mal à une amie, alors là, je peux être la pire des salopes. Si c’était moi, je peux te dire que je leur ferais payer cher, à ces deux ...
... encu… Je ne répondis rien, car cette conversation commençait à me peser ; je m’étais un peu fermée, et ils s’en aperçurent. Je les avais vus se regarder et me sauter dessus ; je poussai un cri de surprise et je me trouvai renversée sur le canapé qui s’ouvrit d’un coup. — Ah… mais… qu’est… qu’est-ce que vous faites ? Une main se posa sur ma bouche et Bruno me répondit : — On te viole, ça ne se voit pas ? — Ah, oui !… Bon… alors d’accord. Tu penses bien que je voulais me faire violer par ces deux-là ! Et le chahut continua, pire encore. Pendant que Bruno me tenait les cuisses, Cécile, assise sur ses talons au-dessus de ma tête, avait posé ses jambes sur mes bras ; j’étais complètement immobilisée. Bruno me léchait la minette avec une extrême douceur. Cécile s’occupait de mes seins ; ses caresses étaient elles aussi douces et sensuelles. Je capitulai. Bien décidée à me laisser faire, je me détendis complètement. Cécile passait ses doigts sur mes tempes ; ils descendirent le long de mes joues pour atteindre mes seins tout pointus et finirent leur course sur ma minette. Les doigts entrèrent dans mon vagin et ouvrirent le passage ; la langue de Bruno entra et se lança dans une exploration minutieuse et extrêmement jouissive. J’ondulais telle une anguille et sifflais comme un serpent. Pour ne pas m’entendre gémir, Cécile m’avait enroulé sa langue autour de la sienne et ses doigts s’amusaient sournoisement à faire rouler, puis pincer mes tétons. Je ne cherchais même pas à regarder dans ...