1. Juliane, oh Juliane. (3)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... conduite et sur la tonte, les oreilles pleines du bruit du moteur. Ma fille avait bien choisi son moment ! Le lit de Juliane occupait une place dans un coin de la chambre, la tête du lit appuyée sur un mur nu, et un de ses cotés séparé de cinquante centimètres du mur ou s’ouvrait la fenêtre, un tiers de celle-ci environ surplombant le pied du lit. Debout à quelques pas devant l’autre côté, j’ôtai mon tee-shirt et le laissai tomber au sol, me tenant immobile quelques instant en admirant cette jeunesse resplendissante de fraicheur, irradiant le bonheur de vivre, le désir et l’envie. Juliane cessa de sourire. Je vis son regard descendre le long de mon torse, et s’arrêter sur la braguette de mon pantalon de toile. Elle se pinça les lèvres tout en se caressant lentement la cuisse. « Papa… » Dit-elle tout bas. Je dégrafai la ceinture, déboutonnai le pantalon, et l’ôtai tranquillement, laissant ma fille profiter du spectacle. Je m’approchai lentement du lit, jusqu’à être à portée de ses mains. Elle en tendit une pour la poser sur la bosse que formait déjà sous mon boxer mon sexe en érection. Tout en me penchant vers ses lèvres pour les embrasser, je fis glisser celui-ci sur mes jambes, libérant ma queue raide et entièrement bandée. Dehors on entendait le ronronnement de la tondeuse tout près, juste sous la fenêtre. Si proche que dans le bruit on distinguait le bruit de l’herbe propulsé dans le réceptacle. Depuis la position du lit qu’elle occupait, nous ne pouvions pas l’apercevoir ...
    ... par la fenêtre, mais j’imaginais fort bien Hélène sur sa tondeuse, casquette sur la tête pour la protéger du soleil, occupée à manœuvrer l’engin juste à quelques mètres sous ce lit adultérin et incestueux à la fois. Nous nous embrassions, mêlant nos langues comme deux amants, Juliane caressant ma verge d’une main sûre. Elle quitta mes lèvres, et d’un mouvement de ses bras m’invita à m’allonger sur son lit. L’instant d’après, je m’y vautrais, et Juliane, toujours à genoux à mes côtés, me tournait le dos. Je la vis alors passer une jambe par-dessus mon torse pour se mettre à quatre pattes tête-bêche au-dessus de moi, m’offrant son entre-jambes dans la clarté de sa chambre inondée de soleil. Une nouvelle fois, je retrouvai l’odeur de son sexe, sa douceur et sa moiteur, mais cette fois, en plus, je contemplai à l’envi sa nudité interdite, profondément excitante, la forme parfaite de ses cuisses et de ses fesses, la douceur sans faille de sa peau de 18 ans... Je dégustai sa chatte en me délectant du bruit de la tondeuse qui s’éloignait. Dans le même temps, je sentis mon sexe s’enfoncer dans la jeune bouche de ma fille, qui me suça goulument sans attendre. Notre 69 incestueux était fébrile, passionné : par le risque qu’à tout moment ma femme pouvait arrêter de tondre pour je ne sais quel raison, et par la surexcitation que ce danger provoquait. Juliane faisait aller et venir son bassin en geste circulaire pour mieux profiter de ma bouche, et j’accompagnais sa fellation de coups de ...