1. Juliane, oh Juliane. (3)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... reins pour mieux profiter de la sienne. Nos jeux de bouche étaient ponctués de soupirs et de gémissements de plaisir. Au bout d’un moment, elle se redressa, et se tourna vers mon visage pour m’embrasser. Les gouts de nos sexes se mélangèrent, dans un baiser des plus torrides. Je la fis tomber sur son flanc, puis la fis se mettre sur le dos, et me plaça au-dessus d’elle. « Oh oui, papa, viens, viens. Prends-moi. Prends-moi sous nez sans qu’elle le sache, elle qui veut toujours tout régenter. » Tout en la laissant diriger mon sexe vers l’entrée de son vagin, je me dis que dans son attitude, le désir de se venger de sa mère n’était pas absent, et très égoïstement, je n’allais pas m’en plaindre. J’entrai en elle entièrement d’un mouvement ample et doux, sans effort tant elle mouillait. « Ohh Juliane, oh que c’est bon... » Elle lâcha un profond soupir en me sentant la pénétrer tout en me regardant dans les yeux, « hhhhhhh.... Oui, oui, vas-y, vas-y papa, elle ne peut pas nous surprendre, vas-y. » Possédant Juliane, sur son lit, dans sa chambre où je l’avait vu grandir, j’étais assailli d’émotions très fortes de toute nature. Tout d’abord un vif sentiment de culpabilité à l’égard de ce que j’étais en train de faire ; en mon for intérieur, je me traitais de dépravé, de pervers, de désaxé. De l’inquiétude aussi, un sentiment de fort danger immédiat à l’égard du fait que ma femme était proche de nos ébats. Mais les puissantes vagues d’excitation sexuelle qui me parcouraient le ...
    ... corps et l’esprit comme les rouleaux de l’Atlantique submergent l’estran l’un après l’autre me faisaient perdre le fil de mes pensées, au fur et à mesure de nos ébats, au gré des gémissements de ma fille, de ses appels murmurés d’une voix rauque : « oui, oui oh oui... encore, encore... Papa, papa, encore oui, OUI !! ». Au début, je la pris avec douceur, lentement, prenant mille précautions. Mais j’accélérai vite la cadence, et me mis à la pénétrer de manière virile, à coups de reins vigoureux qui lui faisaient tressauter les seins sous mes assauts. Juliane gémissait de plus en plus fort, et je craignais de plus en plus que nous soyons entendus, d’autant qu’on entendait de nouveau la tondeuse se rapprocher de la maison. Mais cela ne me fit pas ralentir pour autant, tant le plaisir de posséder cette jeune fille en mâle mature et pleinement en possession de ses moyens que je pressentais était grand. Alors que le bruit de l’outil était au paroxysme, et que ma crainte aussi par conséquent, je sentis soudainement Juliane se tendre comme un arc. Elle se mit à jouir de moi, tremblante et suffocante. Je cessais de la pilonner pour simplement accompagner du bassin ses soubresauts d’orgasme en la regardant jouir avec délectation. kdpkiils Elle se détendit peu à peu, me regardant amoureusement. « Mon papounet d’amour... Que je t’aime ! » J’allais lui répondre quand, tout à coup », la tondeuse s’arrêta, provoquant dans l’instant le déclenchement d’un frisson tout le long de mon dos. Je ...