1. Juliane, oh Juliane. (3)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... défourailla mon sexe de son ventre, et m’approcha avec beaucoup de précautions de la fenêtre, pour observer ce qui se passait. A travers les voilages, je vis qu’Hélène était descendue de son engin, et qu’elle se tenait non loin devant, penchée sur le gazon. Elle ramassa un outil ressemblant à un râteau oublié là, et le jeta sur le côté déjà tondu. Ce faisant, elle se tourna une seconde vers la fenêtre et je reculais, inquiet. « Ne stresse pas, elle ne peut pas te voir, avec les voilages... En plus le soleil se reflète dessus et les rend encore plus opaque vu de dehors... » Je risquai de nouveau un œil vers le jardin, où je vis Hélène remonter sur sa machine, casquette sur la tête, et démarrer le moteur. « Tu en es sûr ma chérie ? » Dis-je d’une voix dubitative. « Absolument certaine papa. » En disant cela, elle s’était redressée, et elle se mit sur le bout du lit, à quatre pattes, tournée vers la fenêtre. Elle écarta les jambes en une invitation coquine et provocante. « Prends-moi comme ça, en la regardant aller et venir. Elle l’a bien méritée et je t’assure que tu ne risques rien. » Je regardai sa croupe relevée, offerte, et mon excitation devient extrême. Je bandais comme rarement j’avais bandé. « Ça me gêne un peu que tu parles de ta mère comme ça, Juliane... » « Elle m’en fait voir de toutes les couleurs, elle ne te traite pas mieux, et tu la défends encore ? » Je me tus, peu désireux de débattre de ce sujet, et mes mains s’étant posées sur ses fesses, j’avais mieux à ...
    ... faire. Je me calai derrière elle, jambes bien écartées, et je fis glisser mon membre le long de sa raie. « Alors tu veux que je te baise, hein ? » « Mmmm, oui papa » « Ok, je vais te baiser alors... » J’écartai ses fesses pour que mon gland puisse se glisser le long et descendre doucement dans son entre-cuisses. Un temps, je m’arrêtai sur son anus bien fermé. Je l’entendis respirer plus fort et se raidir un peu... Je laissai descendre mon gland juste un peu plus bas, et d’un coup, je la pénétrai de nouveau. Elle allongea ses bras devant elle, et cala sa tête sur la couette. Je commençai à la bourrer en levrette. D’où je me tenais, je pouvais voir Hélène s’éloigner de la maison, tout en baisant ma fille. Drôle de scène. « Juliane, je vais te baiser comme une chienne » « Oui, papa, tout ce que tu veux, je suis à toi ! » Je pris mon temps. J’alternai les moments où je la pilonnais à rythme élevé et ceux où je ralentissais, lui bourrant ma queue bien au fond en fouillant à l’aide de mouvements du bassin. Elle se remit à mouiller beaucoup. Au bout d’un temps, Je vis Hélène revenir vers la maison... je regardais ma femme, sa casquette baissée sur son visage, ses cheveux blonds, attachés en queue-de-cheval, son corps séduisant dans un tee-shirt sans manches et un short court. Je regardais ma femme, tout en sautant sa fille, notre fille. Le plaisir montait en moi progressivement. Juliane avait raison, Hélène, bien que se rapprochant petit à petit, ne nous voyait pas, ne pouvait pas nous ...