1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    J’ai bossé pendant près de quinze ans au 36 quai des Orfèvres. Et puis une fille allumeuse et passablement bourrée m’a fait dépasser les bornes. En temps normal, je l’aurais remise à sa place ; mais là, ça faisait un bail que je n’avais pas tiré mon coup avec une meuf. Ses nichons libres qui tanguaient dans son décolleté et son string de guipure laissant bien visible sa chatte lorsqu’elle faisait virevolter sa minijupe me firent déconner. J’avais le robinet prenant l’air et le visage de la nana, peinturluré de couleurs diverses, mélange de foutre et de maquillage, lorsque mon chef entra dans le bureau où elle s’occupait de moi. Je vous passe les détails du savon que j’ai pris, et on m’a conseillé de donner ma démission. Alors voilà pourquoi sur la porte de mon bureau se trouve la plaque : Didier Van der HaguenAgent privé de recherches Il y a le côté pourri du turbin, lorsqu’un mari me demande de suivre sa femme pour avoir la preuve de son infidélité. Cela permet de mettre du beurre dans les épinards, mais mes rapports ne sont pas toujours à charge. Madame n’a pas toujours tort d’aller voir si l’herbe n’est pas plus verte dans le pré d’à côté. Non, ce qui m’intéresse le plus ce sont les affaires crapuleuses ou criminelles. Malheureusement, on fait peu appel à moi pour ce genre de démêlés ; et si je m’en charge, c’est à mes frais. Ne plus être dans la police procure certains avantages. S’il fallait que je me tienne à l’écart des putes en étant policier, devenu privé, je peux ...
    ... frayer avec les milieux du sexe tarifé. J’ai découvert Sandra, une jeune femme de 25 ans (moi qui ai 45 ans). Elle avait tourné dans environ 50 films X ; ce qui ne signifie par grand-chose, ses prestations pouvant aller d’une ou plusieurs scènes de baise à un court passage le cul à l’air. À côté de ça elle était escort-girl. Lorsque j’ai baisé la première fois avec elle, ça a été l’osmose totale. Elle m’a tout de suite accordé un tarif préférentiel, sorte de carte de fidélité, puis ne m’a plus rien demandé. Elle m’a dit : — Je veux arrêter les tournages.— Tu veux te ranger des bagnoles avec moi ?— Oui, j’ai envie de baiser comme dans les films, mais seulement avec toi. Par contre, mon activité de pute, je la poursuis.— Ah ! Et tu crois que je vais accepter ?— J’en suis certaine lorsque tu connaîtras ma clientèle : deux handicapés à qui je redonne la joie de vivre, un vieux monsieur très vicieux et pervers mais adorable, et quelques jeunes à déniaiser ; je leur fais connaître les plaisirs sexuels en cinq leçons avant de les lâcher dans la nature.— Et côté broute-minou ?— Oui, mais là c’est autre chose. Ne me demande pas de te fournir des rapports sur mes relations féminines, ce serait trop long entre celles qui paient et les autres. J’ai accepté en précisant à Sandra que je pourrais la mettre à contribution dans mes enquêtes, notamment si j’avais besoin d’une pute. Ça non plus, à la rousse ce n’était pas possible : difficile de dégoter une fliquette aboulant si complaisamment de ...
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