1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    ... pour moi des lieux de rêve. Mais ce n’est pas parce qu’une fille se met à poil au milieu d’autres filles qu’elle est lesbienne ; ce serait trop simple.— C’est pour cela que tu as accepté de tourner des scènes lesbiennes dans des films pornos, notamment avec Sandra, pour trouver des partenaires ?— Oh, les films, c’était pour voir si je pouvais changer. Je me disais qu’être au milieu de queues dressées provoquerait peut-être chez moi un intérêt pour les hommes. Finalement, ça a eu l’effet inverse. De voir ces mâles en rut, ça m’a définitivement débectée des mecs. Je ne lui dis pas, mais dans mon for intérieur je pense que les plateaux du cinéma porno ne sont pas le meilleur endroit pour avoir une approche réaliste de la sexualité humaine. On peut y expérimenter bien des choses, à condition d’avoir déjà un bon bagage. — Alors, dans ta vie privée, tu as des partenaires sexuelles féminines.— Oui. Elle t’a dit tout ça, Sandra? Elle me raconte ses difficultés de nouer une relation saphique stable jusqu’à ce qu’elle rencontre Daphné, la « femme formidable » dont m’a jacté Sandra. Je laisse causer la gosse : tant que ça sort, il ne faut tarir la source. J’enregistre dans mes méninges ses paroles en les mettant en ordre, comme les morceaux d’un puzzle. La donzelle et la cougar (Daphné pourrait être sa mère) fréquentaient le même centre de remise en forme avec sauna, jacuzzi, bains et douches. La nudité et la promiscuité de ces lieux les ont rapprochées. Dès qu’Adeline a vu les nichons ...
    ... de Daphné, elle a flashé dessus. Elle n’hésite pas à me montrer une photo de son amante sur son portable : une belle femme de quarante ans au corps rond mais sans lourdeur, avec deux nibars réellement appétissants ; s’y ajoute un sexe où ne subsiste qu’une fine toison pubienne en forme de ticket de métro, tant et si bien qu’entre les jambes écartées on devine la moule. Cette femme correspond parfaitement au personnage de la mythologie grecque dont elle porte le nom : une nymphe d’une grande beauté au destin tragique. Un jour alors qu’elles étaient nues, prenant leur douche l’une à côté de l’autre, Adeline a osé lui dire : — Tu as vraiment de seins magnifiques.— Ils ne sont pas bien gros, lui a répondu Daphné en lui souriant, mais pour une femme de quarante ans je suis contente de leur fermeté et de leur maintien. Tu veux toucher ? Comme elles étaient seules dans les douches à cet instant, Adeline n’a pas hésité et a caressé avec plaisir ces nénés si complaisamment offerts. Celle qui se faisait peloter n’a pas voulu être en reste et est venue triturer les seins de la jeune femme en disant : — Toi aussi tu as de beaux seins. « Tu trouveras au bout de deux beaux seins bien lourds deux larges médailles de bronze. » C’est un poème de Baudelaire. Puis après un silence, Daphné a repris : — Est-ce que tu es lesbienne ?— Comment as-tu deviné ?— À la manière dont tu reluques les femmes ici. Ça fait un moment que je t’observe. Lorsque tes yeux se rivent sur les seins de tes congénères ...
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