1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    ... sa personne pour les besoins d’une enquête. Sandra n’est pas du genre à enculer les mouches, aussi elle n’a pas discutaillé ; elle a même trouvé ça normal. * Lorsque je suis au pieu avec Sandra, le sommeil n’est pas notre principale préoccupation. Comme nous ne créchons pas ensemble, nous ne baisons pas tous les jours. Aussi nos retrouvailles sont d’autant plus enflammées. Lorsque je sais qu’elle vient me rejoindre, je me mets à l’aise : un paréo ou une serviette nouée à la taille constitue mon unique vêtement. Ainsi, Sandra a directement accès à ma pine. Elle se jette dessus comme la misère sur le pauvre monde. C’est la reine de la pipe, elle y met un savoir-faire inégalé, ma queue coulisse entre ses badigoinces, mon gland est récuré par sa langue râpeuse et les bruits que provoque sa turlutte ajoutent à l’excitation. Tout en me suçant, elle ôte son superflu de vêtements : chemisier blanc toujours légèrement transparent et jupe courte souvent fendue sur le côté. Elle apparaît alors dans des sous-vêtements toujours très excitants : soutif à balconnets qui met bien en valeur ses nibars, string minuscule et porte-jarretelles. Mais il y a ce petit plus, ces ouvertures dévoilant des mamelons dressés de désir et une vulve gorgée de sang. Mes mains vagabondent d’un trésor à l’autre. Difficile de rester lucide avec le traitement qu’elle me prodigue. Et puis soudain Sandra lâche mon zob dressé enduit de sa salive et me dit : — Tu veux me prendre par où ? Je te finis avec la bouche ou ...
    ... tu préfères juter dans mon con ?— Et ton fion ?— Si tu veux, il est open-bar pour toi mon chéri. C’est pas le cas de tous mes michetons. Durant ces soirées, ma queue visite plus d’une fois ces trois conduits accueillants, chacun provoquant des plaisirs différents. Si ma première jouissance est assez rapide, les autres sont plus longues à venir et donc d’autant plus fortes. Nos joutes sexuelles font alterner des moments de sensualité délicieux, des combats furieux, des pénétrations tant phalliques que digitales dans nos différents orifices, mon cul n’étant pas épargné. Sandra ne m’encule pas, cependant elle adore venir palper ma prostate en passant par mon cul et me voir jouir sans éjaculer. Quant à elle, elle kiffe autant lorsque je la saute et lui ramone le con que lorsque je l’encule et que c’est son étroit conduit que je récure. — Mon cul a tant reçu de queues, pas des vergettes, me dit-elle si je me montre trop timoré, que je peux tout accepter : des grosses, des longues.— Oh, divin trou du cul que je vais prendre, attends un peu : tu vas la sentir, ma pine dans ton fion !— Même pas peur.— Et à sec, sans lubrifiant !— Je n’en ai pas besoin. Enduis seulement ta queue d’un peu me ma mouille et vas-y franchement. Je ne me fais pas prier. Parfois, on corse les choses en utilisant des godes qui me permettent de lui offrir des doubles pénétrations : ma queue qui s’active dans son fion tandis que l’accessoire en plastoc tournoie dans son con. Je sais qu’elle a connu deux vraies ...
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