1. Trou de la balle


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, ff, ffh, frousses, rousseurs, inconnu, amour, vengeance, jalousie, chantage, dispute, ffontaine, coprolalie, policier,

    ... moment où Nathalie jouit comme une malade, prise de convulsions. Je quitte le beau duo de brouteuses pour préparer quelques reconstituants dans la cuisine. Elles viennent m’y rejoindre dans leur admirable nudité, tout à la fois naturelle et indécente, et nous commençons à manger. C’est le moment pour Nathalie de faire son rapport : — Tu as tapé dans le mille en t’occupant de cette histoire. Je me demande d’ailleurs comment la gendarmerie a pu passer à travers. Je me suis rancardée sur le légiste qui avait fait le rapport. Première surprise : celui qui a signé n’est pas le responsable de l’IML en question.— Un remplaçant ?— C’est ce que j’ai pensé, mais comme le médecin principal est propriétaire d’une queue très appétissante, qui apprécie mes turlutes lorsqu’on se voit lors de réunions, j’ai pu m’adresser directement à lui. Il n’y avait pas eu de remplacement : il est parti en vacances, mais la semaine suivant l’autopsie de Daphné.— C’est quoi ce binz ?— Attends, ce n’est pas tout. J’avais sous les yeux le rapport du dossier, celui qu’a la gendarmerie. Eh bien, il y a toute une partie du rapport de mon topo qui n’y était plus. Et pas le moins important.— Comme quoi Daphné avait reçu une balle dans le buffet.— Comment le sais-tu ?— Mon intuition, ma chérie, mon intuition.— Tu aurais dû faire flic.— J’y ai pensé, figure-toi. Regarde ce que j’ai trouvé à proximité de ce qu’on peut nommer la « scène de crime ».— Une douille d’arme de guerre, affirme Nathalie en observant ce que ...
    ... j’ai ramassé. Nous baisons une nouvelle fois avec lenteur et sensualité. Nathalie me confie que depuis quelque temps elle apprécie les pénétrations vaginales, et depuis peu, anales, à condition que le calibre soit fin et que son fion soit bien préparé. — Tout ça pour te dire que j’ai beaucoup aimé lorsque tu m’as sautée tout à l’heure. Il n’y a que les cons qui ne changent pas d’avis.— Et tu ne voudrais pas que je t’encule ?— Elle est trop grosse, ta pine. Mais qui sait, peut-être un jour mon cul sera habitué.— Fais-moi signe. * Je discute avec Sandra de la suite des opérations. Il faut absolument que Pirottin, la toute nouvelle chef de la brigade de gendarmerie, rouvre l’enquête sur la mort de Daphné. Ce n’est pas gagné car elle est sous l’emprise de son amoureux, un de Vanois, comme le mari de la victime. — J’ai une idée, me dit Sandra. Ça te dirait de faire un reportage photographique des infidélités d’un mec ?— Que veux-tu dire ?— Je séduis l’amoureux – au besoin je le laisse me niquer – et toi tu prends des photos bien explicites. On les fait passer à la greluche. L’amoureux risque de baisser dans son estime…— Je te mets encore à contribution.— Oh, au point où j’en suis… Et puis lui au moins il est jeune, et ça risque d’être plus plaisant qu’avec les deux autres bâtards. * Ça ne traîne pas. Le copain de Pirottin ne résiste pas et Sandra n’a aucun mal à emmener Popaul au cirque. Je peux les prendre en photo étroitement enlacés, se roulant des pelles. Et vas-y que je te ...
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