1. Marie et le sculpteur aveugle (17)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Erotique,

    ... premiers jours de notre rencontre, commence à poser ses mains sur moi pour prendre la mesure des volumes et formes de la pose dans laquelle je suis. — Prof ? — Quoi donc ? — Vous... vous allez aussi sculpter votre frère ? Je demande insidieusement imaginant Lucien en train de palper le corps de son frère ! — Non... ce sera ta première sculpture d’un corps entier À ces mots l’image de mes mains sur le corps du frangin accélère mon rythme cardiaque mais aussi celui de Robert dont la queue se durcit d’un coup. Sans discontinuer, les mains du sculpteur me pelotent un peu partout tandis que Robert, nu et coiffé de sa tête de Minotaure transpire à grosses gouttes. Je sais que derrière les yeux vicieux de la « bête », les yeux encore plus vicieux de Robert sont rivés sur mon sexe imberbe grand ouvert. La vue de ma chatte si exposée, si offerte lui fait visiblement de l’effet car sa queue est dure et tendue et je pourrais presque l’atteindre de ma main droite si je le voulais. La « bête » est en rut ! Lentement, les mains du Prof glissent de ma taille sur mes seins qu’il attrape avec délectation. Avec quelques chiquenaudes de ses pouces et index, il ne faut pas longtemps avant que mes tétons déjà naturellement protubérants, réagissent et durcissent comme du bois. Mais lorsqu’il empoigne mes globes à pleines mains et les malaxe avec ferveur et ravissement, comme un enfant jouerait avec de la pâte à modeler, mon excitation s’emballe et mon souffle rauque trahit le plaisir intense que ...
    ... ça me produit. La pose indécente, les caresses incessantes ajoutées aux mains baladeuses et insistantes de Robert me font chavirer et tout mon corps fond littéralement de bonheur. Ma respiration se fait lourde et mon cœur s’emballe au fur et à mesure que leurs mains me triturent les seins et s’approchent de mon entrejambe humide. Mais le plus excitant, c’est cette gueule de taureau, ce corps d’homme nu surmonté d’une tête d’animal féroce et puissant. Mon esprit se brouille et instinctivement, je tends ma main droite vers la pine de « l’animal »... Je touche ses grosses couilles qui pendent et les grattouille avec l’innocence d’une nymphe juvénile qui joue au feu avec une bête. Je sens son sexe incroyablement dur et épais se tendre complètement. La bestiole grogne de plaisir. J’empoigne alors à pleine main le vit raide du monstre et fais coulisser mes doigts fins sur toute la longueur du cylindre veineux et turgescent. Malgré la chaleur dans l’atelier et nos corps qui transpirent, le Prof continue de s’affairer. A un moment, il avale la moitié d’une bouteille d’eau et retire sa chemise trempée de sueur pour se mettre à l’aise. J’en profite pour lui demander : « Prof, quand je dois sculpter... heu... le Minotaure ? » — Je ferai le dégrossissage du corps de Robert demain et je te laisserai le soin de le terminer... si tu vois ce que je veux dire ; tu t’es très bien débrouillée avec la précédente sculpture n’est-ce pas ? De le "terminer" ! Oui, on peut dire ça comme ça... Mon cœur ...
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