1. Marie et le sculpteur aveugle (17)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Erotique,

    ... bouche et j’en avale une partie malgré moi alors que le reste régurgite de mes lèvres écartelées. Brigitte, ma sœur (!) ma tête entre mes cuisses ne semble rien entendre et se met à jouir... longuement et ardemment. En d’autres circonstances, son plaisir ferait plaisir à voir... Robert, mon oncle (!), mon vrai « tonton » (!), part à son tour et inonde la chatte de sa nièce de son liquide chaud et gluant juste sous mes yeux. Je recrache le foutre d’Alain comme je peux et me lève, terrifiée et choquée par la situation. Brigitte ferme les yeux de bonheur avec un magnifique sourire de ravissement et de plénitude. Elle n’a apparemment rien entendu. Lucien, effondré, reste allongé sur le sol en train de faire un malaise. Sa queue encore gonflée saccade et continue de pisser du sperme qui coule doucement sur son ventre. La K7 n’est pas terminée. — En me rapprochant de mon amour, j’ai fait la connaissance de toi Robert, un vrai Don Juan qui me rappelait tellement Lucien que j’ai succombé à ton charme ; à maintes reprises... comme tu le sais. Si je t’ai incité à venir Marie, c’est pour que tu puisses rencontrer tes vrais parents, ton frère et ta sœur. Je voulais vous réunir tous. Malheureusement, la maladie m’a pris de court et je n’ai pas eu le temps ni la force de vous rassembler pour vous dévoiler enfin cette triste vérité qui m’a hantée toute ma vie. J’espère que vous allez enfin faire connaissance et que vous vous apprécierez les uns les autres... Je pense que vous avez beaucoup ...
    ... de choses à vous dire et à rattraper maintenant. Je vous souhaite bien du bonheur. J’aurais tant voulu voir ça... Adieu Le premier à parler est Robert. — Non, je... je ne suis pas sûr qu’elle aurait voulu voir "ça" !... — Robert ! Ton frère est au plus mal ; il faut appeler les secours Je me rhabille comme je peux. Alain a enfin compris et reste prostré. Brigitte émerge et se demande ce qui se passe. Je m’occupe de Lucien en épongeant son front brûlant avec une serviette humide et en lui enlevant son déguisement avant que les secours n’arrivent. Robert appelle le SAMU qui débarque rapidement et emmène le Prof inconscient sur un brancard. Je ne le reverrai jamais. Il a eu une attaque cardiaque dont il s’est remis difficilement et est ensuite entré dans une terrible dépression. Je suis partie le soir même de la maison ; et de la ville dès le lendemain sans un mot. Personne n’a parlé. On s’est séparé dans un silence de mort. Je n’ai pas fait ces études dont je rêvais. J’ai su par la suite qu’Alain avait lui aussi quitté la ville et retravaillait comme fleuriste quelque part plus à l’Ouest. C’est tout. Je ne sais pas ce qu’est devenu Robert mais je pense qu’il a été le seul à surmonter ce drame. Je suis montée à Paris pour m’inscrire dans une autre école. Puis, par la suite, j’ai rencontré un brave gars, on ne peut plus normal et qui m’aime. Je me suis marié et je vis bien mais il n’y a pas un seul jour où je repense à ces quelques semaines invraisemblables et tragiques qui ont ...
«12...111213...»