1. Marie et le sculpteur aveugle (17)


    Datte: 23/01/2020, Catégories: Erotique,

    ... et pousse un petit cri en lâchant un profond soupir d’excitation et d’impatience honteuse. C’est au moment où Robert s’apprête à suggérer à Lucien d’aller... plus loin, que je sens mes jus couler le long de ma cuisse droite et que Lucien, après maints passages de son sexe sur ma fente, le pousse - enfin - dedans... Dans un profond et lent mouvement entre mes lèvres qui s’écartent doucement, il l’engloutit profondément, repoussant mes chairs granuleuses les plus intimes à son passage. Le sexe poursuit son chemin avec une douceur infinie, glissant et plongeant en moi jusqu’à buter dans le fond, m’arrachant un puissant cri d’extase. *************************************************************************** A L’HÔTEL Devant moi, tout en parlant, Marie respire lourdement et s’agite de plus en plus sur son fauteuil. C’est à ce moment précis que le contact de mon pied sur son entrejambe se fait... Je retiens ma respiration en scrutant une possible mauvaise réaction de sa part. Mais non. Elle l’emprisonne ! Alors j’ose et appuie carrément mon pied sur sa culotte humide et pousse mon orteil en plein milieu du boursoufflement de sa chatte... Les yeux clos, elle pousse un petit cri mais ne cherche pas à éviter le contact. Au contraire ! Elle s’appuie à son tour sur mon orteil et imprime de petits mouvements de son bassin pour mieux se frotter dessus ! Sa culotte est tellement trempée que je sens l’humidité gagner ma chaussette... Je n’en crois pas mes yeux !! Elle s’immerge ...
    ... viscéralement dans son récit en se tortillant de plaisir et poursuit avec difficulté. *************************************************************************** La sensation est tellement forte que je manque de m’évanouir et de tomber. Lucien me retient par mon sein droit qu’il triture. Ses doigts s’enfoncent dedans avec délectation et il les pétrit comme de la pâte à modeler. L’appareil photo de Robert crépite à tout va tandis que sa bite, complètement décalottée, fend l’air dans tous les sens en coulant de longs filets baveux dégoûtants qui zèbrent alternativement ses cuisses et le sol. Le Satyre me prend d’abord doucement puis accélère progressivement comme une bête surnaturelle. Dans mon cou, son souffle animalier me transcende. Alors que mes seins valdinguent sous les coups de reins de plus en plus puissants du monstre, je gémis de plaisir comme une folle. Je suis possédée par un Satyre !! Son sexe boursoufflé d’excitation me pénètre au plus profond de mes entrailles sous l’objectif sans-gêne de Robert qui fait des gros plans de ma fente écartelée par cet énorme cylindre de chair veineux qui coulisse dans un bruit obscène de mouille visqueuse. Lucien et moi ne pouvons plus faire machine arrière. L’orgasme est en route et aucun de nous ne peut plus s’arrêter... et pourtant... ************************************************************************ A L’HÔTEL Dans l’hôtel, mon pied suit le récit en s’enfonçant carrément dans les replis de sa chatte au travers de la culotte trempée ...
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