1. (R)éveils


    Datte: 23/01/2020, Catégories: fh, jeunes, freresoeur, amour, cérébral, BDSM / Fétichisme 69, fdanus, hdanus, sf,

    ... le sommes pas ? les tests ADN n’ont même pas détecté de lien de parenté entre nous. Alors où est le problème ? On passe énormément de temps ensemble, dans l’espace, tu en as envie, j’en ai envie… Laisse-toi aller… *** Cette fois, c’est d’une chaude, ô combien chaude affection qu’il l’entoure. Et il sent qu’elle y répond, elle s’abandonne, laisse monter son excitation. Il caresse son dos, rapproche ses lèvres des siennes. Elle accepte son baiser sans hésiter, y répond avec fougue. Leurs langues se cajolent, se caressent, goûtent leurs salives… Ils reprennent haleine. — Tu veux bien me montrer ta petite culotte, alors ? Il ressent plus qu’il n’entend la réponse : — Débrouille-toi tout seul, tu m’as si bien rhabillée tout à l’heure… Il l’embrasse dans le cou, commence à ouvrir sa combinaison. — Je savais bien que tu avais aimé ça, petite chatte ! Un ronronnement de plaisir lui répond alors qu’il l’embrasse entre les seins, tout en dégageant de son cocon son corps frémissant d’impatience. Lorsqu’il se recule pour l’admirer, elle attrape sa combinaison et l’en extirpe avec dextérité. — Moi aussi, je veux te regarder à mon aise. Ils se dévorent des yeux, lui nu, ivoire et argent, avec ses seuls yeux rubis, immenses, incandescents, elle dans son écrin de lingerie, noir sur fond or, couronnée par le brasier de sa chevelure. Elle lui caresse la poitrine, saisit sa queue. — Tu bandes, mon salaud, ta bite est gorgée… de sang et de foutre ! Il fait glisser ses mains de ses épaules, ...
    ... frôle sa poitrine, effleure son nombril, ses hanches, force enfin deux doigts entre ses cuisses, qu’elle resserre par jeu. — Et toi, tu mouilles, petite salope, tu dégoulines d’excitation ! Il a glissé son autre main sous la dentelle du porte-jarretelle et le satin de la culotte, il lui caresse les fesses, elle lui rend la pareille, lui masse lentement le membre. — Tu as mouillé ta petite culotte ! Il porte son index à sa bouche, le lèche lentement, puis lui glisse son majeur entre les lèvres, elle le laisse faire. — Lèche ! Elle s’exécute avec enthousiasme. Tu aimes… Leurs plaisirs les embrument, les enveloppent… — Je ne suis plus une gamine, je ne peux pas garder une petite culotte toute mouillée sur moi ! Elle se penche rapidement, enlève l’objet de ses récriminations, le hume, lui en présente l’entrejambe. — Tiens, toi aussi, tu as aimé. Il le happe, le mâchouille, le suce, elle l’embrasse, leur langues lèchent le tissu imprégné de ses fluides les plus intimes. Des perles de sueurs commencent à rouler sur leurs corps enchevêtrés. — Mais je suis encore plus mouillée… S’il te plaît, fais quelque chose ! Il descend le long de son corps, laissant sa langue tracer un sillon de feu entre ses pommes d’or toujours prisonnières de leur nuit de dentelles, survolant des lèvres le brasier de sa toison… Elle s’est ouverte. Il laisse, tel un impertinent petit campagnol, courir sa langue autour de sa chatte, comme pour taquiner le félin qui ne peut que saliver d’envie et de plaisir… Elle ...
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