Pourquoi résister ?
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
f,
fh,
ff,
fbi,
Collègues / Travail
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
ffontaine,
... inconfortable, mais excitante. Dans le reflet, elle voyait parfaitement son sexe baveux et obscène mais aussi son petit anneau rose. Patricia glissa son majeur le long du sillon. — Prévenez-moi si je vous fais mal. J’ai l’impression que c’est un peu plus serré de ce côté…— O…oui… Quand Carole sentit le majeur s’enfoncer doucement dans son anus, elle gémit, mais pas vraiment à cause de la douleur. — Pardon, je vous ai fait mal ?— Non, pas du tout.— C’est agréable ?— Euh… oui.— Alors continuons… Le majeur était entré totalement ; Carole respirait de plus en plus vite, se sentant fouillée. — Parfait, nous y sommes. Tout semble en ordre. Patricia sortit son majeur, laissant Carole pantelante et insatisfaite. Elle jeta son gant et l’aida à descendre du banc. — Vous pouvez vous rhabiller maintenant. Nous contacterons madame Svensson pour lui transmettre vos résultats. Voici une ordonnance pour un contraceptif qui vous conviendra mieux ; vous pourrez le prendre dès ce soir en respectant la posologie indiquée sur l’ordonnance. Merci pour votre patience, Mademoiselle Leroi.— Merci beaucoup… Patricia sortit en lui souriant. Carole se rhabilla, le corps fourbu, le sexe douloureux. Elle chaussa ses hauts talons et prit l’ordonnance avant de gagner le couloir. Elle sortit et trouva le taxi devant la porte. Elle monta, et le chauffeur lui proposa de la reconduire en ville. Elle accepta. Peu de temps après, elle entrait dans une pharmacie pour prendre son contraceptif, une pommade calmante ...
... et un gel lubrifiant. Une fois cette question réglée, elle entra dans une boutique faisant partie de la liste qu’on lui avait remise et se dirigea vers le rayon lingerie. Une femme l’aborda et lui demanda si elle venait de la part de madame Svensson ; Carole acquiesça. — Dans ce cas, suivez-moi, Mademoiselle. Elle l’emmena hors des rayonnages, passa une porte pour pénétrer dans un salon privé. — Je m’appelle Dolores ; je vais vous conseiller. Déshabillez-vous entièrement, Mademoiselle. S’il vous plaît. Son ton n’appelant pas de critique, Carole obéit et se retrouva nue. Dolores tourna autour d’elle, sans un mot. Elle prit ses seins à pleines mains pour les soupeser. — Parfait ! Attendez-moi un instant. Carole se retrouva seule devant le grand miroir, mais peu de temps. Dolores était déjà de retour avec les bras chargés de dessous de dentelle. L’essayage dura plus de deux heures et Carole essaya des ensembles tous plus sexy les uns que les autres, transparents ou non, dentelle et soie… Dolores lui montra comment attacher des jarretelles, l’aida à lacer un bustier, à enfiler des bas à couture. Carole se sentait manipulée comme un objet, mais trouvait cet essayage assez plaisant lorsqu’elle se voyait dans le miroir. À la fin, Dolores emballa ses achats et lui tendit le paquet. — Combien vous dois-je ? Je ne suis pas sûre d’avoir assez d’argent…— Tout est pris en charge, Mademoiselle, ne vous faites pas de souci.— Ah… euh, d’accord.— Passez à côté pour vos chaussures, je préviens ...