1. Pourquoi résister ?


    Datte: 24/01/2020, Catégories: f, fh, ff, fbi, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme ffontaine,

    ... ma collègue. Dans le magasin d’à côté, la même scène se reproduisit ; une vendeuse lui proposa une quinzaine de chaussures à talons entre 8 et 12 centimètres. Carole se laissa guider docilement. Puis elle passa dans un autre magasin où on lui conseilla des vêtements très féminins : jupes, tailleurs, chemisiers transparents, robes moulantes, pantalon de cuir… Lorsqu’elle rentra chez elle, la soirée commençait et elle était épuisée. Elle se déshabilla et se jeta dans son lit. Ne trouvant pas le sommeil, elle se releva et, nue, gagna la cuisine où elle se servit un grand verre d’eau. Il ne lui restait pas grand-chose dans le frigo : un bout de fromage, deux yaourts et un concombre. Elle grignota le fromage et un yaourt. En terminant son yaourt, elle repensa à la bouche de Patricia tachée de sperme. Son sexe aussitôt se manifesta en s’humidifiant : c’était de ça qu’elle avait besoin ! Comme un automate, elle ouvrit le frigo et se saisit du concombre. Elle le lava et s’installa sur la table, jambes écartées. Le concombre s’enfonça aussitôt dans son sexe, d’un seul geste, presque brutal. Carole le fit aller et venir, butant au fond de son ventre. Puis elle le sortit de son sexe et le lécha, ...
    ... goûtant ses propres sécrétions. Son jus épais et poisseux était un peu sucré. C’était bon… Elle prit le côté un peu plus gros du concombre et l’enfonça en elle d’un seul coup, jusqu’au fond. La douleur n’était rien comparée au plaisir qu’elle ressentait d’être ainsi remplie… Ses doigts libres pinçaient ses tétons, les faisaient rouler sans ménagement, au-delà de la douleur. Carole jouit, inondant la table de la cuisine de son nectar épais. Elle se redressa et lécha longuement la table, se régalant de sa propre jouissance, puis elle se mit à quatre pattes et tendit la main vers son tiroir ; elle en sortit un fouet métallique de cuisine et l’enfonça dans son sexe sans ménagement. Elle le fit tourner, aller et venir, sortir, entrer, sentant les brins métalliques distendre son vagin jusqu’à la douleur. Elle l’enfonça au plus loin et prit une longue cuiller en silicone un peu rugueux ; elle lécha le manche et l’enfonça directement dans son sexe, le plus loin possible puis, ivre de plaisir, elle la ressortit pour la lécher, la nettoyer intégralement avant de recommencer encore et encore. Elle tituba vers son lit et s’endormit enfin, la main lovée contre son sexe poisseux, des fantasmes plein la tête. 
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