1. Pauline - années adulte (18)


    Datte: 24/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Chapitre 18 Privée de tous mespoils, je me sentais encore bien plus nue. J’étais à genoux, les mains derrière la tête. Il avait posé sur le sol à ma gauche mes vêtements de vagabonde, et à ma droite sa ceinture. La punition était simple : soit je repartais, sois j’acceptais de nouveau d’être frappée et je pourrai alors manger. Il m’avait dit dix coups. Les autres que j’avais reçus m’avaient fait très mal, mais rien d’insurmontable. J’avais tellement faim… J’eu l’impression qu’il m’avait fouettée bien plus fortement que la première fois. Mes fesses étaient peut-être plus sensibles aussi. Lorsque sa ceinture claqua sur ma peau pour la dixième fois, je souffrais vraiment. Mes yeux étaient en larmes, je ne contenais plus mes cris… Et un onzième… — Mais… Nous avions dit dix. — Dix par mensonge Tu n’avais pas compris ça ? Tu as menti sur ton nom et ton âge. Il en reste donc 9. Mais, tu peux toujours décider d’en rester là et partir d’ici. — … J’ai juste été surprise… Vous pouvez continuer. Je n’avais pas subi tout ceci pour m’arrêter et abandonner maintenant. Je l’ai donc laissé continuer à me faire mal. Et enfin, c’était fini. Il jeta alors du poisson et du riz sur le parquet. Je l’ai regardé étonnée : « sans les mains ! Allez chienne, tu peux manger ». Sans les mains ? « Chienne » ?... Je n’en étais plus à une humiliation prête. J’avais l’impression que mes oreilles bourdonnaient… J’ai léché le sol jusqu’à ce qu’il ne reste plus le moindre grain de riz. L’homme, toujours ...
    ... installé sur son canapé, me demanda — Tu en veux encore ? — Merci, j’en ai déjà beaucoup mangé. Ça va aller comme ça. — Bon, tu peux partir maintenant. — … Il pleut beaucoup dehors… — Je disais ça pour toi. Ton petit cul m’excite beaucoup et ta belle paire de nichon bien volumineuse me donne de sacrées envies. Il baissa son pantalon et prit en main son sexe qu’il commença àmasturber. Je n’avais plus faim, les picotements étaient terriblement là. Moi aussi, j’avais envie de me toucher, mais je n’osais pas. Cependant, mes yeux n’arrivaient pas à se détacher de cette main qui montait et descendait le long de sa verge. — Dis voir, le spectacle à l’air de te plaire. Tu veux me la toucher ? — … Je n’ai jamais fait ça. — Il faut bien commencer un jour. Approche. Il me demanda de rester debout devant lui, jambes légèrement écartées, suffisamment penchée pour tenir sa verge. Il m’expliqua comment faire… C’était doux et chaud au touché… Vraiment agréable à tenir… — Est-ce que je fais ça bien ? — Vas moins vite, on a tout notre temps. — … Comme ça ? — Oui… Ça te plait, pas vrai ? — … — Non, pas besoin de répondre, ça se voit. Laisse-moi caresser tes seins. — Oui… Si vous voulez. Il y allait doucement, j’aimais… J’aimais… J’aimais même lorsqu’il tirait un peu sur mes tétons. C‘était une sorte de massage qui me faisait du bien alors que ma poitrine trop gonflée avait commencé à me faire un peu mal. Après plusieurs minutes, sans demander mon autorisation, il glissa une main entre mes jambes, sur ...
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