Pauline - années adulte (18)
Datte: 24/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... mon minou. J’ai poussé un petit gémissement de surprise, puis d’autres de plaisir alors qu’il massait cette zone que je savais très humide. — Continue à mebranler en même temps. Tu aimes, n’est-ce pas ? — Oui, Monsieur… Pourquoi vous arrêtez ? — Tu aimerais que je continue ? — C’est très agréable. — Aimerais-tu que je lèche tapetite chatte ? — Je ne sais pas… Ce n’est pas dégoûtant ? — Je jouerai avec ta chatte plus tard, si j’en ai encore envie. Maintenant, mets-toi à genoux, et emprisonne ma queue entre tes seins… Oui, comme ça. Fais des mouvements de vas-et-viens. Puis, sans rien dire, il se leva, se masturba juste devant moi. Du liquide sortit de sa verge, frappa mon visage, tomba sur ma poitrine, mon corps. J’avais été étonnée sur le moment… Je comprenais ce que c’était. J’étais souillée, mais fière en même temps d’avoir su lui offrir un certain plaisir. Je savais que c’était du sperme et c’était loin d’être dégoutant. Les picotements se calmèrent, sans que je fasse quoi que ce soit. J’ai eu l’impression d’entendre la voix de mon père lorsque je le surprenais dans des moments intimes avec ma mère, lui disant alors « je n’arrive à prendre du plaisir que si tu en as ». C’était peut-être la même chose pour moi. Cet homme fut mon premier, s’occupant tour à tour de chacun de mes orifices pouvant servir de façon sexuelle. J’ai à chaque fois aimé. Il sut s’y prendre, il devait avoir beaucoup d’expérience. J’étais restée, j’avais au moins un toit chaud et de quoi manger à ma ...
... faim. Il y avait cependant certaines contraintes comme devoir l’attendre le soir à genoux devant la porte d’entrée, totalement nue, les mains derrière la tête. Il m’appelait « chienne », m’avait même achetée un collier en cuir sur lequel on pouvait attacher une laisse. Je devais l’appeler « maitre »… Il me fouettait régulièrement, parfois parce que j’avais fait une bêtise, souvent parce qu’il en avait envie. Je pouvais supporter tout cela. Ses coups n’étaient rien, ses insultent passaient largement au-dessus de ma tête. Les moments sexuels étaient quasiment une délivrance. J’aimais lorsqu’il m’offrait à d’autres, par plaisir, ou pour l’aider dans son travail. Ça me permettait de m’évader un peu. Je ne savais même pas quel boulot il faisait, je m’en fichais totalement. Il était riche, bien plus que ce que j’avais pensé en pénétrant dans cet appartement la première fois. Tout l’immeuble lui appartenait, dont nous étions pratiquement les seuls habitants, et il devait certainement posséder bien plus encore. Je n’aimais pas forcément la situation dans laquelle j’étais. J’aurais pu partir, m’enfuir des milliers de fois. Il n’avait aucune tendresse ni d’affection pour moi, ni moi pour lui. Mais, je restais là. Il me permettait d’oublier un peu ma véritable souffrance. Je ne lui ai jamais dit que j’avais tué mon père. — Je sais pourquoi tu es ici, Jade. — … Monsieur ? Vous connaissez mon nom ? — Je te connais, oui. Tu pourras lui dire que quoi qu’il fasse, je refuse. Je n’aime pas ses ...