1. Pauline - années adulte (18)


    Datte: 24/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... manières et sa façon de faire. J’ai bien compris que pour lui ce n’est qu’une question d’argent. Et même si l’ordre vient de bien plus haut que moi, je refuse, prêt à en assumer les conséquences. Rhabille-toi, s’il te plait. — … Vous me connaissez comment ? — Sais-tu pourquoi il t’a envoyée ? — Non. Je ne m’intéresse pas à ses affaires. — Il tente d’imposer une solution low cost pour les cantines de la région, favorisant des produits industriels bas de gamme tout en se faisant des marges inadmissibles. Vois-tu de quoi je parle ? — … Pas vraiment… — En gros, il veut détruire tout ce que ta mère a mis en place durant des années et que je peine à maintenir depuis son départ. — Vous connaissez ma mère ? — Tu ne te souviens vraiment pas de moi ? J’ai regardé cet homme, un député… Il me disait vaguement quelque chose, mais je ne savais pas si j’avais vu sa photo dans un magazine ou ailleurs. Je me suis sentie stupide ainsi nue devant lui. J’étais là pour « l’attendrir », j’ai eu l’impression à ce moment-là de n’être qu’unepute. J’ai remonté cette robe trop sexy pour tenter de cacher ma nudité. — S’il vous plait, dites-moi comment vous avez connu ma mère. — A l’époque, elle venait d’intégrer la mairie. Elle ne connaissait pas grand-chose ...
    ... aux méandres bureaucratiques, mais elle avait déjà la tête bien ancrée sur ses épaules. Elle savait ce qu’elle faisait et où elle voulait aller. Elle avait la meilleure des motivations pour aller jusqu’au bout : sa propre fille. — … Vous dites ça d’une façon… Avez-vous eu une relation intime avec elle ? — J’en ai rêvé plus d’une fois pour être franc. Mais, lorsque j’ai rencontré ton père, auquel tu étais toujours accrochée d’ailleurs, j’ai bien compris que je n’avais aucune raison d’espérer… Je ne t’ai pas vue à son enterrement. — Je n’y suis pas allée. — … Chacun a ses raisons… Comme disparaitre du jour au lendemain. — J’imagine que vous allez lui dire que vous m’avez vue… — Je m’occupe d’affaires politiques, pas d’affaires familiales. Cependant… — Je ne peux pas aller la voir. — Pourquoi ? Qu’as-tu fait de si grave pour ne plus oser parler à ta propre mère ? — … Je l’ai tué… C’est moi qui ai tué mon père. mdbmhhlx — Ce n’est pas ce que j’ai vu dans le rapport… — Ça n’a rien à voir avec la réalité ! Et je suis partie. J’avais presque envie de recevoir ces coups de cravaches sur mes fesses, mon dos et mes seins parce que je n’avais pas réussi à convaincre ce député. La douleur physique était tellement plus douce que toutes les autres. 
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