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La Muse (23)
Datte: 24/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Extrait du livre de Georges : « Ma Muse » Caro et moi sommes montées sur le grand lit et nous nous sommes lancées dans une danse amoureuse et saphique ; mais plutôt que de vous la raconter, je vais vous recopier un passage du roman de monsieur Georges. $$$$ Extrait de « Ma Muse » Je remercie les dieux de m’avoir envoyé Jennifer ; elle est pour moi un immense rayon de soleil qui m’a redonné goût à la vie. Non seulement cela, j’éprouve maintenant le besoin d’être l’artiste que j’étais par le passé, et c’est ma raison de vivre. J’ai emmené Jennifer et son amie Caro avec moi au salon du livre et de l’art érotique car elles le méritent grandement. Jennifer veut être artiste ; un bien grand mot je pense car elle ne sait ni où aller ni vers qui se tourner. Je la crois en réalité perdue, certainement à cause de ce désamour ; trahie par son ami, elle ne sait plus. Elle s’est réfugiée dans le sexe et cet amour saphique avec Caroline, par vengeance des hommes et sans doute par dépit envers les garçons. Elle est surprenante et impulsive : quand elle se jette dans quelque chose, c’est tout entière ; elle me rappelle ma Julie. Elle est extraordinaire ; elle a même réussi à remettre en route ma libido, celle de mes trente ans, à l’époque où Julie et moi étions follement amoureux et que tout allait bien. Grâce à mes peintures et mes romans, nous vivions très confortablement, mais la maladie me l’a volée, emportant avec elle toute mon énergie. Me voici dans cette chambre avec le deux plus ...
... belles créatures qui puisse exister sur Terre. Elles sont en train de minauder ; elles m’offrent les plus belles démonstrations de ce qu’est le sexe. J’ai le sentiment qu’elles ont une idée derrière la tête : elles veulent m’exciter, les coquines ! Après tout, cela les amuse et me fait un bien fou : un plaisir immense, sans doute la meilleure chose qu’il me soit arrivée après Julie. J’ai en face de moi ces deux minettes lancées dans une danse d’une sensualité extrême. Elles s’embrassent avec une passion dévorante. J’imagine les langues valser, s’enrouler l’une autour de l’autre, et ce goût de salive si doux et suave ; je connais celui de Jennifer. Me voici sur ce fauteuil, presque nu, un verre de champagne à la main à les regarder s’amuser ; et comme disent les jeunes, « j’ai la trique ! » Les corps ondulent telles des anguilles ; les mains courent sur les corps de bas en haut, de gauche à droite. Jen est très blanche ; elle ne bronze pas. J’aime cette couleur, ce blanc presque neige : elle doit avoir des origines nordiques. J’adore la voir nue ; c’est pour cela que j’ai peint plusieurs tableaux d’elle. Sa silhouette m’inspire et fait bouillonner mon imaginaire. Avec ses formes gracieuses et ses fesses, petites, rondes et fermes, on dirait de petits ballons faciles à prendre en main. Et ses seins ! Petits, ronds comme des melons, et des petits bourgeons toujours saillants. C’est certainement pour attiser les envies qu’elle ne met presque jamais de soutien-gorge. Caro a la peau ...