1. La Muse (23)


    Datte: 24/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... beaucoup plus mate, avec un bronzage couleur caramel ; je pourrais la croquer ! Ce qui est amusant, c’est de les voir ainsi se lécher les seins et se sucer les tétons comme si elles voulaient en tirer un lait improbable. Moi, je sens mes trente ans revenir ; nul besoin de me toucher : je bande de plus en plus. Je bande de voir ces deux chattes se lécher la minette ; elles le font avec un tel entrain que j’imagine le plaisir qu’elles doivent se donner. Elles se sont mises selon le Kâma-Sûtra en position de 69 ; les langues explorent les doux plis et recoins les plus retirés de leur corps. Je les entends gémir. Dans ma jeunesse, il était impensable que deux filles puissent faire ce genre de chose ; quel outrage aux bonnes mœurs ! Ce qu’elles sont en train de faire est beaucoup plus chaud que ce qu’elles ont fait dans le train où ce pauvre garçon fut obligé de sortir se soulager ; je le comprends, car je dois avouer qu’elles m’avaient mises dans un drôle d’état moi aussi ! Voir ces deux coquines se caresser comme elles l’on fait et montrer petit à petit des parties de leur corps était particulièrement érotique et terriblement excitant. À sa place, j’aurais sauté sur ces deux bougresses ! Je les aurais empalées et asticotées sur place. Ah, ces trains à compartiments, s’ils pouvaient raconter ce qu’ils ont vu et entendu... Elles se sont assises en tailleur face à moi, impudiques. Les jolies fleurs toutes roses me donnent envie d’aller les sentir, les palper, les lécher. Elles me ...
    ... font un signe : elles ont soif, et moi aussi d’ailleurs car les voir ainsi me sèche la gorge ; je leur tends leurs coupes de champagne. En me levant, ma serviette glisse et tombe au sol ; je suis nu devant elles, le vit à la verticale devant leurs yeux écarquillés et remplis de gourmandise. Je me sens rougir. Jen boit une grande partie de sa coupe et en verse une autre sur les seins de Caro qu’elle lape à grand coups de langue. Elle descend comme pour rattraper le liquide qui coule vers la minette de la belle Caro, inondée par cette soudaine cascade pétillante. D’un revers de main elle couche la belle sur le dos et enfouit sa tête entre ses cuisses. Elle suce à grand bruit le liquide qui a dû pénétrer dans la caverne ainsi offerte et se relève. — Viens, me dit Jen en tapotant le lit. Je me doute de la suite, et c’est avec une grande joie que je m’approche d’elles. Elles me tirent pour que je m’allonge sur le lit puis me poussent pour que je sois en plein milieu du lit. Me voici entre mes deux déesses qui commencent déjà à me cajoler, me caresser. Quel bonheur de sentir leurs mains courir et glisser sur moi... Peut-être que je vais arriver à l’extase sublime. « Pardonne-moi, Julie, je ne peux résister ! » Cette voix intérieure et troublante – comme si Julie était aussi en moi – que j’entends souvent me parler me répond « Vas-y, profite : elles sont si belles... » Allongé entre mes deux muses, j’implore les dieux que mon engin ne me fasse pas faux-bond. Elles se sont attaquées à ...