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La Muse (23)
Datte: 24/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... mon corps. J’ai droit à un massage à quatre mains ; Jen m’en avait parlé il y a quelque temps en me vantant les mérites du salon de soins où elle va. Par moments, je me demande si ces deux tigresses ne font pas cela par jeu ou par vice, se taper un vieux, comme elles doivent se dire ; mais je ne le crois pas car elles y mettent tellement de cœur que j’ôte cette idée stupide de ma tête. Elles m’ont bandé les yeux. De fines lèvres humides se posent sur ma bouche, m’arrachant à mes pensées ; elles viennent me donner du plaisir. Je les reconnais : ce sont celles de Jen. Sa langue, au goût de champagne, ses mains sur mon torse et mon ventre sont si douces que je fonds de plaisir sous ses caresses. Ses tétons effleurent mon torse ; une main vient de s’emparer de mon engin et coulisse sur toute sa longueur avec lenteur. Une bouche enveloppe mon gland et l’aspire ; il se blottit au fond de sa gorge. Mon plaisir est immense ! Une langue dans ma bouche, deux mains sur mon torse, deux tétons durs et saillants touchent ma poitrine ; et ces doigts qui pincent mes propres tétons... ils pointent et durcissent encore plus ; mon membre lui aussi vibre de désir. Cette bouche qui m’aspire le sexe et ces mains massant mes testicules me font mourir de plaisir ; impossible de résister : je me laisse aller. C’en est trop ! Mon excitation est à son paroxysme, et j’espère que cela n’est pas fini. Jen quitte ma bouche et me verse un liquide froid : un reste de champagne, sans doute, puis me suce les ...
... tétons et le ventre sur lequel le liquide s’écoule comme la lave d’un volcan. Je comprends pourquoi elles mettaient tant d’application à se lécher tout à l’heure : c’est délicieux, et comme j’aimerais leur en faire autant... Lécher une minette au champagne, cela doit être extraordinaire ! La bouche de Caro vient de quitter mon membre, vite remplacée par la chose la plus douce et la plus extraordinaire qui est le propre de la femme : sa vulve, son vagin si chaud. Je m’y enfonce avec un doux plaisir. Le bandeau disparaît. Au-dessus de moi, un cul. C’est celui de Jen, impudique, qui offre à ma vue la totalité de son intimité : sa vulve juvénile et rosée, brillante de son jus féminin, et son anus qu’une pulsion incontrôlée m’invite à lui fourrer mon doigt. Mais ma bouche atteint sa jolie corolle. Elle vient de s’asseoir sur mon visage ; je bois son jus féminin. Voilà des lustres que je n’ai pas goûté à cette liqueur suave ; j’en avais oublié l’odeur, le goût, et l’excitation que cela procure. Mes mains tantôt sur ses fesses si petites mais si douces, j’explore son corps, son dos, ses seins – un dans chaque main – je masse. Elle est parfaite. Elles sont parfaites, ces petites un peu folles de jouer avec moi ; cette fraîcheur me fait revivre. Caro s’agite sur moi dans un mouvement de va-et-vient incessant ; Jen se tortille en gémissant. Maintenant elle rugit presque, puis tout à coup vibre et s’enfonce sur moi ; je m’étouffe presque. Je fais pénétrer ma langue au plus profond de son ...