Le concert
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
jeu,
... quelque chose à l’oreille de Magali et je le vis alors fendre la foule, suivi par Jérôme, pour se rapprocher des premiers rangs. Magali se tourna vers moi, dégoûtée. — Ils veulent aller devant, me fit-elle à l’oreille. Je vis toute la déception sur son visage. — Tu veux qu’on fasse quoi ? lui demandai-je.— J’ai mal aux pieds, fit-elle. Ça te dérange pas si on retourne dans les gradins ? Je lui fis signe que non et, lui prenant la main, je nous frayai un chemin vers l’arrière de la salle. Nous montâmes presque tout en haut pour trouver deux places assises. Magali était livide. À la recherche d’un mot gentil, je ne trouvais rien d’autre à lui dire que : — Il en vaut pas la peine, Magali. Elle était assise à côté de moi et nous ne nous étions pas lâché la main. — Il en a rien à foutre de moi, fit-elle, et je vis les larmes monter à ses yeux. Elle se mit à pleurer à gros sanglots et je passai mon bras autour de ses épaules, sans savoir quoi lui dire. Cela dura un petit moment sans que je sache comment réagir. — Je m’étais faite belle pour lui, je m’étais débrouillée pour venir, fit-elle alors. Tout ça pour rien.— S’il ne se rend pas compte à quel point tu es une fille fantastique, c’est qu’il est con. Tu es belle, intelligente, marrante, va pas te pourrir la vie pour cet idiot. À vrai dire, j’étais vraiment hors de moi. Qu’un petit con puisse mettre ma Magali dans cet état, ça me dépassait. Magali avait posé la tête sur mon épaule et je la serrais contre moi du mieux que je ...
... pouvais, sur ces sièges inconfortables. — Laisse tomber ce con, crétin, abruti, fis-je. Elle eut un petit soubresaut, un petit rire au milieu d’un sanglot. — De toute façon, je suis sûre qu’il est intéressé que par les canons… Surpris, je posai ma main sur sa joue et relevai sa tête pour que ses yeux croisent les miens. — Qu’est-ce que tu racontes ? Tu ES un canon, Magali. T’es peut-être la fille la plus jolie, la plus adorable que je connaisse. Tu vaux bien mieux que lui, je t’assure. Elle eut un sourire triste, mais d’avoir son visage à quelques centimètres du mien comme ça me permit de plonger dans ses magnifiques yeux verts, trop souvent camouflés par son maquillage noir, et y voir des larmes m’émut plus que de raison. Ma main sur sa joue passa sur son menton que j’attirai légèrement vers moi en même temps que je m’avançais. Mes lèvres vinrent effleurer les siennes et je lui fis un baiser tout doux, bien plus délicat que celui échangé lors du jeu de rôle. Elle répondit favorablement à mon initiative et me laissa l’embrasser. Nos langues se découvrirent à nouveau, dans une circonstance tout à fait différente et bien plus troublante finalement, avant que je décide de mettre fin au baiser. Ma main sur sa joue retomba et Magali vint remettre sa tête sur mon épaule. — Tu es gentil, me fit-elle. Pensait-elle que je l’avais embrassée pour la consoler ? Et était-ce le cas ? Bien sûr que non, je l’avais embrassée parce que j’avais eu une irrésistible envie de le faire ! Nous ne ...