1. Le concert


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, jeunes, profélève, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, jeu,

    ... bougeâmes pas jusqu’à la fin du concert. Magali, sa tête sur mon épaule et moi avec un bras autour d’elle. Lorsque le concert fut terminé, nous nous dirigeâmes tranquillement jusqu’à la sortie. Je gardai mon bras autour de sa taille et elle passa le sien autour de mon cou. Elle avait vraiment mal aux pieds dans ses bottes et notre posture était autant un support de ma part pour l’aider à marcher qu’un geste de tendresse. Nous ne dîmes plus un mot jusqu’à la voiture et peu après que j’eus démarré, Magali s’endormit. Arrivé devant chez elle, je n’eus pas le cœur de la réveiller et, comme avec un enfant, je décidai de la porter jusque dans sa chambre. L’extirper de la voiture fut délicat. Elle devait être à moitié consciente de ce qui se passait mais elle ne fit aucun mouvement pour me faciliter la tâche. Je la montai jusque dans sa chambre et la posai sur son lit. Je redescendais fermer les portes que j’avais laissées ouvertes et je pus m’apercevoir au passage que les affaires de Nadège n’étaient plus là. Elle devait déjà être repartie et Juliette devait m’attendre dans sa chambre. Je remontai dans la chambre de Magali. Elle n’avait pas bougé et sa respiration profonde indiquait qu’elle dormait à poings fermés. Je parcourus sa tenue, gêné. Je ne pouvais pas la laisser dormir comme ça et je n’avais pas envie de solliciter l’aide de Juliette pour le moment. Nous devions avoir une conversation sérieuse et je ne voulais pas lui laisser l’opportunité de réfléchir à une défense, je ...
    ... voulais passer directement à l’offensive. Je m’approchai donc du lit sur lequel je m’assis et me mis en devoir de lui enlever ses bottes. Délicatement, je défis les fermetures Éclair et je réussis à les retirer sans trop de difficulté. Je me pris à lui faire un léger massage des pieds et à regarder si ceux-ci étaient durement meurtris ou pas. Magali portait un collant et il me paraissait évident qu’elle ne devait pas le garder pour dormir. Retirer des bottes, c’était une chose, mais un collant, ç’en était une autre. Décidé à lui retirer ses collants, je me fis la réflexion qu’il fallait aussi que je lui enlève sa jupe en cuir. Je commençai donc par là, tirant la fermeture Éclair, défaisant le bouton et essayant de faire passer, le plus doucement possible, la jupe sous ses fesses. Je réussis la manœuvre et pus apercevoir alors la culotte de Magali, sous le collant. Une culotte blanche, toute sage. Totalement dépareillée parmi tous ses vêtements noirs. Cela me fit sourire et je m’attelai alors à lui retirer ses collants, ce qui était une autre paire de manches. Mes mains sur ses hanches faisaient glisser le collant en descendant sur ses fesses puis sur ses cuisses. J’avais déjà été en contact avec sa peau, à cet endroit même, lors du jeu de rôle, et si elle m’avait paru brûlante, elle me parut cette fois d’une douceur infinie. Je me retins de ne pas en profiter en laissant vagabonder mes mains et me concentrai sur ma tâche. Mes mains glissèrent jusqu’à ses genoux, ses chevilles, ...