Le concert
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
profélève,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
pénétratio,
jeu,
... ventre. Petit à petit, elle vint s’infiltrer dans sa culotte. Je continuai à descendre ma main qui entra en contact avec sa pilosité légère, et mes doigts vinrent assez directement contre sa fente qui ruisselait. — Je sens la profondeur de votre excitation, mademoiselle Delporte, et je trouve cela magnifique. Voilà une émotion sublime, une émotion fantastique à retranscrire. Continuez comme ça. Tandis que je l’encourageais, mes doigts caressaient délicatement sa fente et je donnais avec mes fesses des petits coups pour que mon sexe contre ses fesses participe à notre excitation mutuelle. Tout à coup, sans prévenir, je baissai sa culotte et défit aussi rapidement mon pantalon. — Voilà, plus rien ne vient entraver votre désir, mademoiselle Delporte. Vous êtes totalement libre. Mon sexe reposait maintenant directement contre ses fesses et je pliai légèrement mes genoux pour que mon sexe descende à hauteur du sien. Juliette avait posé son pinceau depuis quelques instants et elle avait les mains posées sur son pupitre. Elle se cambra, épousant mon mouvement pour me permettre de la pénétrer. Mes mains remontèrent alors sur ses seins tandis que j’entamais un mouvement de va-et-vient en elle. Juliette haletait comme rarement et des petits cris de plaisir sortaient parfois de ses lèvres sans qu’elle essaie de les retenir. — Mademoiselle Delporte, fis-je entre deux respirations, vous ne verrez plus jamais les natures mortes de la même manière. J’espère bien que vous aurez votre module ...
... grâce à moi ! Je vins plaquer mes lèvres sur son cou et le plaisir que je ressentais était sans aucun doute amplifié par ces préliminaires de jeu qui me faisaient douter de mon rôle et de celui de ma partenaire. J’eus même l’impression de faire quelque chose d’interdit, comme si j’étais réellement son professeur d’art, et cette scène que nous venions de jouer était promise à un bel avenir dans mes souvenirs les plus excitants. Nous étions tellement excités l’un et l’autre que notre plaisir fut bien prompt à arriver. Le sien comme le mien. Le cerveau est bien une zone érogène particulièrement efficace. Je fis tout de même mon possible pour que la jouissance physique soit à la hauteur de la jouissance mentale. Juliette, quant à elle, se laissait faire et c’était un fait assez rare dans nos rapports. Elle me laissait gérer nos plaisirs communs et nous atteignîmes tous les deux l’orgasme. Lorsque ce fut fini, nous restâmes un petit moment l’un dans l’autre. Juliette en profita pour reprendre sa peinture et je me retins de rire. Voulait-elle garder l’artifice intact jusqu’à la fin ? — Bien, mademoiselle Delporte, fis-je pour continuer dans la même direction qu’elle. Le cours est fini, vous n’avez plus besoin de moi. Je me rhabillai et quittai la pièce, laissant Juliette seule, et je me dirigeai vers la salle de bain. Ce n’est qu’un quart d’heure plus tard que je pus lui demander ce qu’elle avait pensé de la petite scène. — Pas mal du tout, me fit-elle avec un sourire, mais ce que ...