1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    C’est la seconde fois que je me retrouve seul avec elle. La première, c’était à mon entretien d’embauche, dans son bureau, où elle m’assenait toutes ces recommandations : efficacité, propreté, discrétion, ponctualité, honnêteté, etc. Tout cela avec une expression sévère, parfaitement dans son rôle de DRH. « Oui Madame… Oui Madame… » Depuis, je l’ai croisée plusieurs fois, alors que je prenais mon service – je commence par son étage – et qu’elle était encore au travail ou partait. Juste un « Bonsoir. » assez sec. C’est en général la seule qui travaille encore. Les autres sont partis et je peux faire le ménage tranquillement. Mais alors que la porte de l’ascenseur se referme, elle le bloque pour passer. Je recule avec mon chariot pour lui laisser un peu de place. — Bonsoir. Excusez-moi.— Bonsoir, Madame. Elle appuie sur le bouton du parking. Mais dès la porte refermée, la descente juste amorcée, j’entends un « Zut ! », et frénétiquement elle enfonce la touche stop. On s’immobilise. — J’ai oublié mon sac. L’ascenseur s’est immobilisé mais ne repart pas. Elle appuie à nouveau. Rien. Encore et encore : rien. Elle commence à s’inquiéter, moi aussi d’ailleurs. De longues minutes passent avec des tentatives sur l’appel d’urgence – la sonnerie, qui de toute façon doit résonner dans le vide – et la constatation que son smartphone ne passe pas. On se regarde. Elle paraît inquiète. Je la sens fébrile. — Zut ! Zut ! Zut ! Je m’excuse, c’est de ma faute. Un collègue à vous est dans ...
    ... l’immeuble ?— Non, je suis seul.— Ah… Un long moment passe où chacun réfléchit. Moi, personne ne m’attend aujourd’hui. Parfois la secrétaire à l’étage en dessous m’attend afin que nous baisions, mais pas ce soir. — Et vous ?— Mon mari est à la maison, mais comme je rentre toujours tard, il ne va pas s’inquiéter. À moins qu’il se souvienne… mais non.— J’ai bien peur que nous devions attendre le matin, dis-je.— Quand je pense ce que cela coûte pour prétendument « être secouru en moins d’une heure » et que leur liaison ne marche pas, c’est une honte ! Elle ne cesse de bouger. La cabine oscille légèrement. — Tenez, asseyez-vous, dis-je alors que je sors de mon chariot un mini-escabeau que j’utilise pour les vitres, tout en essuyant la dernière marche.— Merci, mais vous ? Étrangement, elle semble vraiment me remarquer, et par ce « mais vous ? » me réintègre dans la catégorie « individu » et non plus comme homme de ménage. — Je peux m’asseoir par terre. Pas de problème. De longues minutes passent. Elle regarde son smartphone, manifestement travaille dessus. Il fait chaud. On est en septembre mais l’été n’en finit pas. Les bureaux ne sont pas climatisés, et avec cette chaleur il m’arrive de faire mon travail en short lorsqu’il n’y a personne. Le règlement oblige à avoir une combinaison de travail, mais il fait chaud pour travailler. Je lui propose de l’eau. Elle ne fait pas la difficile et boit au goulot de longues rasades. Le temps passe. Le smartphone est rangé. Je lui propose de la ...
«1234...17»