Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... voulez. Vous devez avoir chaud dans votre manteau. C’est quoi ? Du coton, de la laine ?— Non, un mélange avec de la soie. Mais c’est vrai que ça tient chaud.— C’est comme vous voulez. Et puis une idée me vient à l’esprit. — Vous savez, il n’y a pas de différence entre un maillot de bain deux-pièces et de la lingerie. Si c’est moi qui vous fais peur, je suis désolé. Mais ceux qui me connaissent me disent gentil, pas agressif. Vous ne seriez pas la première femme que je verrais ainsi. Là où je travaillais avant…— Là où vous couchiez avec la femme du patron…— Ce n’est pas très délicat…— Je m’excuse. Vous disiez ?— Les femmes ne se cachaient pas devant moi, et aucune n’a eu à se plaindre.— Je ne peux pas… Je suis mariée, et…— Et ? Je ne vois pas en quoi le fait d’être mariée vous protège de la chaleur. Elle hésite, mais une goutte de sueur glisse sur sa joue. — Je vous préviens : si jamais vous répétez ce que je vais vous dire, je vous vire, sans indemnités et avec une réputation qui vous suivra partout.— Merci de votre confiance. Ces mots sibyllins, chargés d’ironie, la calment. — Désolée. Ce soir, c’est mon anniversaire de mariage… et j’avais prévu une surprise pour mon mari. Elle s’arrête, me regarde et continue : — Si j’ai bloqué l’ascenseur c’est que j’avais oublié mes affaires dans les toilettes.— Les toilettes ?— Oui. Comme je savais que vous alliez passer pour le ménage, je n’ai pas voulu prendre le risque de me changer dans mon bureau. Comme je dois avoir l’air ahuri, ...
... elle continue avec un brin d’exaspération : — Vous faites exprès de ne pas comprendre. Un anniversaire de mariage… une surprise… se changer… Zut, à la fin ! J’ai acheté des dessous sexy… Très sexy, si vous voyez ce que je veux dire. Je hoche la tête. — Vous faites comme vous voulez. Moi, rien ne peut me surprendre. J’en ai vu d’autres.— Toujours à la gym ?— Oui. Vous ne pouvez pas savoir ce qu’une femme est capable de faire.— Oh, que si…— Alors franchement, vous avez peur de quoi ? Que je vous juge ? Mais si vous préférez mariner dans votre jus, d’ailleurs… moi… je n’en peux plus. Et je termine d’enlever ma salopette pour apparaître en short, genre shorty. Je sens bien son regard découvrir le bas après le haut. Je sais l’effet que je peux avoir sur certaines femmes et je remercie chaque fois ma mère de m’avoir fait si bien proportionné, même si j’ai plus qu’entretenu ce que la Nature m’a offert. Mais ce n’est pas une femme normale : c’est ma DRH, femme à poigne, la cinquantaine bien avancée, aussi je me fais discret. — Et puis zut, vous avez raison. Retournez-vous, finit-elle par dire après quelques minutes de silence. J’obéis et j’entends l’escabeau bouger. Mais je fais plus qu’entendre car sans vraiment le vouloir, je me retrouve presqu’en face du petit miroir qui est accroché à mon chariot. Un miroir qui reflète ce qui se passe derrière moi. La femme qui déboutonne cet interminable manteau censé cacher jusqu’au dernier moment sa lingerie coquine, et que moi je découvre à la ...