1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... place du mari. Je comprends la réticence de ma DRH. Ce que je vois est plus que coquin, plus qu’érotique ; plutôt carrément porno, du genre de lingerie plus fréquente sur les sites de cul que dans les tiroirs des bourgeoises. Encore que… Elle a beau essayer d’ajuster le soutien-gorge, elle ne pourra jamais recoudre la fente qui laisse passer le téton avec son aréole. Pour la culotte, c’est encore pire : il y a plus de vide que de tissu, et là aussi la fente est présente. Présente au centre d’un triangle si petit qu’il ne cache pas grand-chose alors que les ficelles qui font le tour des hanches sont comme des lignes qui dirigent le regard. Elle se rassied sur son siège improvisé et je la vois chercher une position qui la cacherait un peu. Je souris de cette décence de pucelle. — Je fais quoi ? Je reste au coin, le nez contre mon chariot jusqu’à ce qu’on nous libère ? La situation commence à m’amuser. Au départ je me voyais mal obligé de rester en tête-à-tête avec ma patronne. Mais maintenant, d’une certaine façon les masques tombent, et c’est une femme à qui je tourne le dos. — D’accord. Vous pouvez vous retourner. Mais je vous préviens : pas un mot, pas un regard, sinon je vous sacque ! « Sacque-moi donc, chère patronne… » pensé-je en me retournant et en essayant de ne pas la dévisager. Chacun dans son coin. Elle, assise, recroquevillée, encore qu’avec mon indifférence affichée elle commence à se relâcher. Moi, assis par terre, me forçant à ne pas la détailler, et pourtant ...
    ... ce n’est pas l’envie qui m’en manque ! — Vous faites du nudisme ?— Je vous avais dit de ne pas… Le ton est en rogne, virulent. — Hé, du calme ; vous avez bien parlé de ma musculation.— Excusez-moi. Mais comment vous savez ?— Le peu que j’ai vu montre que votre bronzage est uniforme. Et je ris, la regardant dans les yeux. — Vous avez raison. C’est ridicule de se prendre la tête pour si peu. De toute façon, rien ne sortira d’ici, n’est-ce pas ? Pas un mot, pas une allusion. Ce sera comme si rien ne s’était passé. Juste deux personnes qui attendaient leur délivrance.— Promis. Alors, ce bronzage ?— Cet été, pour faire plaisir à mon mari qui m’en parlait depuis un moment.— Oh, et c’était comment ?— Bien. Très bien, même. Nu, vous n’avez plus les repères sociaux. Vous pouvez croiser un PDG ou un ouvrier, une bourgeoise, une femme facile et discuter sans cette barrière. Cela fait du bien. Je recommencerai sûrement. J’attends plus de confidences, mais elle se tait, devient songeuse, soucieuse, et je vois des larmes couler. Bientôt elle sanglote. — Madame… vous allez bien ? Qu’est-ce qu’il y a ? Elle se reprend un peu. — C’est mon mari. Il me trompe. Il a une liaison avec une voisine. Une voisine ! Vous pensez, si c’est facile pour lui… Le salaud ! Avant, il me donnait une excuse pour rentrer après moi, maintenant à peine. Il sait que je sais. C’est ma faute : je travaille trop et je le néglige. C’est pour ça, le naturisme et ces fanfreluches de pute. Il me trouvait trop coincée, et ...
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