Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... toi. Tiens, prends ! Je pousse d’un coup de reins violent ma bite au plus profond de sa grotte, déflorant des zones jamais explorées. — Ahh…— Tiens, et ça ! À nouveau une forte poussée suivie d’un « Ahh… » Et puis une nouvelle, et encore, encore. Elle ne se quitte plus des yeux. Oui, cette femme, c’est bien elle. Je m’arrange pour la mettre de profil. Maintenant, ce n’est pas que son visage qu’elle peut voir. C’est aussi cet homme et sa queue si longue, brillante, noire, qui entre et sort de son intimité, son ventre tapant contre ses fesses, la propulsant à chaque fois en avant jusqu’à ce que ses hanches crochetées par des mains noires ne la ramènent. Encore et encore. Quel plaisir de voir cette femme perdre pied petit à petit au rythme de mes poussées, passant de la femme passive à la femme plus délurée et finir en femelle brûlante et demandant encore plus ! Lorsque je la quitte, elle se refait une beauté pour rejoindre son mari qui n’a d’ailleurs pas dû l’attendre. Il ne s’est même pas inquiété de son absence. L’a-t-elle rejoint avec sa lingerie de pute ou a-t-elle repris son rôle d’épouse sage et surmenée ? Mais moi, chaque soir depuis ce jour, je la retrouve. Je ne lui pose pas de questions. Nous baisons. Chaque jour apporte son lot de jouissances mais aussi de découvertes dans les moyens de l’atteindre. ********** — Excusez-moi ; vous travaillez dans cet immeuble ? Je n’ai pas vu venir cet homme qui me pose cette question alors que je m’apprête à ouvrir la porte. — ...
... Oui. Pourquoi ?— Je cherche à rencontrer monsieur Sam V… Que peut bien me vouloir cet inconnu ? En tout cas, il n’a rien d’agressif. — C’est moi. Pourquoi ?— Vous ? Un silence pendant lequel il semble me découvrir. Il continue mais à voix basse, comme s’il se parlait à lui-même. — Je comprends, maintenant… J’insiste. — Qu’est-ce que je peux pour vous ? Il faut que j’aille travailler. Et j’ajoute sans vraiment réfléchir : — On m’attend. Il semble se réveiller. — Justement. Je suis le mari de Véronique A… « Aïe ! Aïe ! Merde, son mari ! » Je décide de faire comme si de rien n’était. — Madame Véronique A…, c’est la DRH de la boîte, c’est ça ?— Oui ; et votre maîtresse. « Ça se gâte… » — Monsieur, je ne vous permets pas de lancer des accusations pareilles. D’ailleurs je n’ai rencontré votre femme, puisque vous le dites, qu’une ou deux fois. Et qu’est ce qui me prouve que vous n’êtes pas un imposteur, un malade ?— Vous avez raison. Il fouille un moment dans son portefeuille et me sort une photo. Pas de doute, la femme à côté de lui est bien Véronique. — Vous parlez d’amant ; c’est peut-être vous, l’amant… et d’ailleurs cela ne me regarde pas. Je commence à ouvrir la porte pour essayer de m’enfuir mais il réplique aussitôt : — Écoutez, je ne suis pas là pour faire un scandale, mais c’est ce qui va se passer si vous ne m’écoutez pas. Tout, mais pas de scandale ! Il passe encore des gens dans la rue, et ni pour moi, ni pour Véronique une altercation sur la voie publique ne serait une ...