Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... bonne chose. Je referme la porte. — Très bien. Vous voilà raisonnable. Je vous assure vous n’avez rien à craindre de moi, et tenez… (il me tend une carte d’identité), vous pouvez bien vérifier que je suis son mari.— D’accord. Mais je ne suis pas celui que vous croyez. Votre femme a peut-être un amant ; c’est son problème et le vôtre, mais ce n’est pas moi.— Vous voulez bien m’écouter une minute ? Allons dans ce café. Je ne vous retiendrai pas longtemps. Et il ajoute avec un large sourire : — Elle vous attendra, et croyez-moi, l’attente augmente le plaisir. Voilà un drôle de cocu qui me parle du plaisir de sa femme. Mais je suis coincé, il me faut l’écouter. Quelques minutes plus tard, nous sommes installés à une table qu’il a choisie un peu à l’écart. — Je vais aller droit au but (petit sourire) : ma femme a un amant. Je l’ai su très vite, peut-être même le premier jour.— Ah. Vous l’avez surprise ?— Mais non, vous savez bien. C’est par son comportement. Elle devait se sentir coupable – je connais ce sentiment – et cherchait à compenser. Cela a commencé le lendemain de notre anniversaire de mariage. Anniversaire annulé car elle aurait été coincée dans l’ascenseur. Et donc le lendemain matin elle me fait un numéro de séduction avec de la lingerie que je qualifierais de pute. Bref. En résumé, Véronique que je ne connaissais que coincée et jamais demandeuse, s’est transformée en maîtresse exigeante. Il faut vous dire que ma femme, si elle ne crachait pas sur le sexe, ne m’avait ...
... jamais montré une véritable envie. C’était évident : elle avait un amant. Mais une semaine après je reçois un mail anonyme me disant que ma femme avait une liaison. Au début, je crains un chantage ; mais pas du tout, cela émane d’un employé qui veut se venger d’une mutation injustifiée. Il me distille les infos au compte-goutte, et voici la dernière, reçue avec un message disant que la prochaine me surprendrait. L’homme me montre son smartphone où l’on voit Véronique manifestement en transe et avec son soutien-gorge fendu. — Vous voyez, c’est dans un ascenseur. Elle est avec son amant et avec son soutif de pute. Le gars m’a promis la vidéo complète, et pour mieux distiller son venin m’a donné votre nom. Je comprends la surprise qu’il annonçait ! Je me sens piégé. Comment réfuter ces preuves ? Ce que le film va montrer, c’est moi en train de lécher sa femme. Il me reste l’indignation : — Quoi, la surprise c’est que je suis noir ? Vous êtes raciste. Cocu par un Blanc, ça vous va. Mais par un Black, c’est trop !— Calmez-vous. Vous voyez qu’il n’y a aucun doute, et encore une fois je ne suis pas ici pour faire un scandale, vous casser la gueule (petit rire), encore qu’avec votre carrure c’est plutôt moi qui sortirais amoché.— Alors, qu’est-ce que vous voulez de moi ? Que je cesse de voir Véronique ?— Non, non, surtout pas. Il semble effrayé de cette éventualité. J’ai du mal à comprendre. Cela doit se voir sur mon visage. — Je dois vous faire une confidence : chaque soir ma femme ...