Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... pourtant j’ai fait des efforts. En ce moment, le soir de notre anniversaire de mariage, il doit le passer à baiser avec l’autre puisque je ne suis pas arrivée avant. Elle sanglote. Je rampe vers elle et m’agenouille en face. — Madame…— Vous pouvez m’appeler Véronique ; après tout, nous sommes intimes. Elle sourit, mais c’est un sourire forcé. — Véronique, peut-être que vous vous trompez. Peut-être que lui aussi avait préparé une surprise. Je lui prends la main. Puis l’autre. Elle se redresse un peu. — Vous croyez…— Sam. Je m’appelle Sam.— Vous croyez, Sam ?— Mais oui. Regardez-vous : vous êtes belle, et demain vous pourrez lui faire la surprise avec juste 24 heures de retard. Vous lui raconterez que vous étiez coincée dans un ascenseur et que toute la nuit vous avez pensé à lui. Que même à un moment vous n’avez pas pu résister, tellement il vous manquait, et que vous vous êtes caressée. Je crains un instant d’avoir trop parlé mais elle sourit. — Il ne me croirait pas ; ce n’est pas mon genre de dire cela.— Justement, il faut le surprendre.— Vous êtes gentil. C’est gentil de dire que je suis belle. Je suis vieille.— Mais pas du tout. C’est la vérité. Vous n’avez pas remarqué comment je restais autour de votre bureau, le soir, lorsque tout le monde est parti ? Vous enlevez votre veste de tailleur ; parfois – en particulier maintenant avec cette chaleur – vous détachez deux à trois boutons de votre chemisier.— Oh, je ne savais pas que…— C’est normal : on ne fait pas attention ...
... à ceux qui font le ménage. Moi, je vous regarde. Parfois vous vous installez dans votre canapé et vous croisez les jambes. C’est magnifique.— Sam, je ne savais pas. Je ferai attention maintenant.— Surtout pas. Et j’ajoute en souriant, la détaillant sans vergogne, faisant passer mon regard de ses seins à sa chatte qui brille dans la fente du tissu : — C’est évident que ce n’est rien comparé à ce que je vois ici. Petits rires. — Sam… Arrêtez, vous allez me faire rougir. Et devant le contraste entre sa remarque et sa position, elle aussi rit de bon cœur. — Ainsi vous m’observiez comme un amoureux transi.— Observer, oui, mais pardonnez-moi de vous le dire : pas amoureux transi. Plutôt voyeur qui sait rester à sa place et juste profiter de l’instant.— En tout cas, merci. Merci pour tout. Aussi pour cela. Son regard montre mon entrejambe. Je bande, et mon satané mandrin n’a rien trouvé de mieux que de repousser l’élastique pour laisser le bout respirer. — Je prends cela comme un compliment. Donc je peux encore troubler les jeunes hommes ? Je ne sais que répondre. Avec une femme normale, je penserais que c’est une ouverture, mais avec elle le risque est trop grand. Pourtant il me semble que sa respiration est différente, que ses mains sont encore plus moites, que malgré la chaleur une chair de poule semble surgir. Je pose ses deux mains sur ses cuisses, les abandonne et plaque les miennes à pleine paume. Un frisson, et j’attends la réplique qui doit me remettre à ma place. Rien. Au ...