Ascenseur de la sexualité
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
cocus,
Collègues / Travail
ascenseur,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
... pour apporter une touche d’intimité. — Tu sais… Le tutoiement me rend soudain l’égal de cette femme. — Tu sais combien de fois j’ai fantasmé dans cette pièce ?— Ah…— Oui, combien de fois j’ai imaginé que l’homme à qui je viens de signifier son licenciement va se mette en colère, bloque les portes et se retourne vers moi, même si je n’étais que la courroie de transmission. Que cet homme qui se retourne vers moi, m’insulte, me bouscule, me secoue mais aussi qu’il découvre que je suis une femme. Une femme sur laquelle il décide de se venger en la traitant comme une femelle à sa merci.— Oh, mais c’est de la perversité.— Je n’ai jamais parlé de cela à personne, sauf à mon psy qui me dit que c’est une façon de me libérer de ma culpabilité supposée.— Moi je ne suis pas psy, mais je dirais que tu as tout simplement envie d’autre chose que de ton mari qui te trompe.— Peut-être… Un silence pendant lequel un ange passe. Un ange dont les ailes sont couvertes de noms, de ceux et de celles qui, apprenant qu’ils sont licenciés, ont soudain des envies de vengeance sur le messager de la triste nouvelle. — À genoux, salope ! Ma voix est forte et la surprend. — À genoux ! Tu vas payer pour ce que tu m’as fait ! Elle comprend. Elle s’agenouille, un sourire aux lèvres. — Suce-moi ! Une DRH blanche qui va pomper une queue noire. Tu m’as foutu à la porte ; tu vas le regretter. Elle tire sur mon shorty pour libérer mon sexe. Le mandrin a perdu de sa superbe avec cette pause, mais il reste encore ...
... assez gonflé pour faire une longue tige qui se cale sur les couilles. Je vois au regard qu’elle lui jette, qu’elle découvre vraiment mon engin, imposant même en demi-érection. « Eh oui, ma belle ! C’est une queue noire, et encore tu n’as pas vu celle de mon cousin… » pensé-je alors qu’elle approche une main. — Suce, ou je t’encule à sec ! dis-je en poussant son visage. Elle entrouvre les lèvres, s’empare délicatement de mon gland qui déjà lui déforme la bouche. Elle commence son exploration mais je remarque tout de suite qu’elle joue un jeu délicat. Pas désagréable, mais loin de ce qu’attend un homme. Pourtant sa langue explore toute la longueur de mon vit, se glisse dans la vallée bien dégagée entre gland et hampe… et mon gland devient une boule de glace qu’une langue caresse, une boule autrement plus chaude, mais dont le cornet crie au favoritisme. — Pompe-moi ! C’est tout ce que tu sais faire ? Pas étonnant que ton mari te trompe. Le regard qu’elle me jette est un éclair, mais elle voit à mon sourire que je suis dans le rôle que son fantasme a créé. — Vous êtes… Ce « vous » me montre qu’elle aussi a décidé d’entrer dans son personnage et que c’est à l’homme licencié qu’elle s’adresse. — Vous êtes trop gros…— Madame n’a pas l’habitude d’un vrai mâle. Attends, je vais te montrer. . Je l’aide à se redresser, la pousse vers la table de réunion, la fais s’allonger sur le dos. Elle croit un instant que je vais la posséder, mais j’ai une autre envie. Ce rôle me plaît bien. Véronique ...