1. Ascenseur de la sexualité


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, cocus, Collègues / Travail ascenseur, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, jeu, confession,

    ... n’est pas seulement une femme que le hasard a poussée dans mes bras ; c’est aussi cette femme que j’ai croisée maintes fois et dont le « Bonsoir. » était empreint de froideur et d’indifférence, habillée de son statut de DRH. Sa tête pend en arrière. Elle me voit approcher. A-t-elle une idée de ce qui l’attend ? Je ne sais pas. Elle m’a dit que son mari la trouvait « coincée », donc leur relation doit se résumer aux grands classiques. Elle regarde. Ma queue est bien droite, pointée vers son visage. Je n’ai pas besoin de le lui demander : c’est naturellement qu’elle entrouvre les lèvres. Je crois que pour un homme, il y a peu de plaisirs supérieurs. Se faire sucer, c’est bien, surtout si la femme est un peu experte et sait vous gober profond et jouer de la langue, sans oublier un regard vicieux. Mais glisser son mandrin dans cette gorge, sachant que la femme voit passer au-dessus de ses yeux la longue tige qu’elle doit imaginer sans fin, les couilles rampant sur le visage, c’est le top du top ! Et puis aussi pousser son gland tout au fond de la gorge pour le faire ressortir gluant de salive. Très vite, le visage de Véronique est un champ dévasté. Elle tousse, elle crache, ses yeux sont remplis de larmes, sa salive lui brouille les joues, détruisant le maquillage. Je l’admire. Elle se laisse faire, et pourtant il lui suffirait d’un geste, d’un refus pour que je cesse. De longues secondes je la baise ainsi, lui laissant à chaque fois un peu de répit pour qu’elle reprenne son ...
    ... souffle, promenant alors mes couilles et mon cul afin qu’elle me lèche. J’ai en face de moi la vision de cette culotte fendue qui semble me défier. J’abandonne la chaleur de la gorge pour aller en face. Les jambes pendent dans le vide, mais dès que la femme me sent, elles s’ouvrent. Je joue un moment avec ma queue, tapotant la fente et le clito. Elle gémit. Je vais la posséder d’un coup, continuant mon rôle d’employé mécontent. — Merde ! Je ne peux m’empêcher de crier ma déconvenue. Que je suis con de ne pas y avoir pensé plus tôt… La femme, surprise et inquiète, demande : — Qu’est-ce qu’il y a ?— Je n’ai pas de capotes sur moi. Vous en avez ?— Moi ? Mais non.— Il faut que j’aille en chercher dans mon casier.— Non, non, ce sera trop long. Je ne peux pas attendre. Prenez-moi. Tant pis, prenez-moi. Elle accompagne sa supplique en fermant ses jambes derrière mon dos, me faisant une douce entrave. En une seconde je me dis que cette femme est clean, et comme moi aussi… — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Ma longue queue noire n’a fait qu’une bouchée de cette chatte de Blanche. Moi aussi je suis pressé de la posséder. Elle n’est bientôt qu’une femelle que je bourre avec puissance, remplissant sa fente de toute ma taille. Elle crie, gémit comme si on la forçait mais je sens bien la pression de ses talons de chaussures sur mes fesses, comme une cavalière qui pousse son cheval avec des éperons. Je sais contenir ma jouissance, mais il y a des limites ! Combien de longues minutes ai-je léché cette ...
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