Ma coiffeuse
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fh,
coiffure,
Voyeur / Exhib / Nudisme
miroir,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Collègues / Travail
... compris que la vue de son petit cul m’était plus qu’agréable. Sans la faire plus attendre, je retournai dans la profondeur accueillante et brûlante de son ventre. La position était plus confortable pour elle et lui donnait plus de latitude pour bouger, ce dont elle ne se privait pas. Afin de me maintenir en elle, j’empoignai fermement ses hanches élastiques et continuai à la pistonner avec autant d’ardeur. Ayant trouvé une coordination parfaite de mouvements, nous fîmes ainsi l’amour comme lion et lionne pendant de longues minutes, jusqu’à l’apothéose. Sentant ma semence prête à jaillir, je m’arc-boutai et collai mon ventre à ses fesses, agrippant avec tant de forces ses hanches que j’imprimai la marque de mes doigts sur sa peau mate, tandis qu’elle se figeait sous moi : nous jouîmes exactement en même temps, mêlant nos cris de plaisir sexuel dans le silence du salon, avant de retomber, elle sur le canapé et moi sur son dos perlé de sueur. Au bout de longues minutes, nos respirations se calmèrent enfin, et, reprenant conscience de l’univers qui m’entourait, je remarquai que la chaîne hi-fi jouaitEuropa de Santana. Je me redressai doucement, étalant du bout des doigts la petite flaque de sueur nichée au creux des reins de Christine. Avant de me retirer de son sexe inondé, je flattai son petit cul d’une tape amicale. Mais, à mon grand étonnement, au lieu que mon sexe ait repris des proportions plus que modestes, je bandais toujours de façon plus qu’honorable ! L’atmosphère ...
... chaude et la situation inhabituelle devaient en être la raison. Je décidai alors de ne pas laisser passer une si belle occasion et, avant que Christine ait commencé à se relever, je lui maintins le buste penché et la croupe tendue vers moi. Glissant mes doigts entre les lèvres de son sexe, je les enduisis le plus possible de son lubrifiant intime et les approchai de son petit trou. Je le massai précautionneusement pour l’humidifier, d’abord sur la corolle puis à l’entrée. Avec un doigt, puis les deux, j’explorai sa grotte étroite, tentant de l’assouplir autant que je pouvais. Christine ondulait des hanches, visiblement peu gênée par mon incursion intime. Quand je sentis que mes doigts allaient et venaient sans difficulté en elle, je les fis quitter leur cachette et pointai mon gland à l’entrée de son cul, bien plus accueillant que seulement quelques minutes auparavant. Le premier round d’amour m’ayant quand même émoussé un peu, ma tige était plus souple et je fus obligé de la guider tout en avançant lentement dans ce fourreau aussi étroit qu’attirant. Pendant que je regardais mon sexe s’enfoncer millimètre après millimètre, j’entendais les soupirs d’aise de Christine. Elle était complètement détendue et ne bougeait plus, attentive à accueillir en elle cette tige de chair. La progression dura un long moment, permettant à nos sens de s’échauffer de nouveau, jusqu’à ce que mon ventre bute contre ses fesses : j’étais enfin entièrement en elle, au fond de son cul que j’observais, que ...