1. Le cercle des menhirs disparus...


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fhh, fhhh, hagé, fagée, extraoffre, inconnu, bizarre, vacances, forêt, collection, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral Partouze / Groupe init,

    ... milieu de ce groupe d’hommes et de femmes d’une bonne quarantaine d’années, alors que tout le monde s’apprête à rejoindre un nouvel emplacement dans la lointaine lande, un des couples s’approche de moi. — Bonsoir. Nous sommes Judith et Abel. Nous sommes de Suisse.— Bonsoir, je suis Pierre, de Paris.— Depuis trois soirs, j’ai vu que vous vous mêliez à notre groupe.— Oui, je suis un ami de Gwendoline.— Ah ! Bon… Mais alors, vous êtes un initié ?— Hein ?— Oui, vous êtes déjà allé au cercle des menhirs disparus ? J’avoue mon ignorance et, alors, que je me prépare à poser plusieurs questions, Judith, jolie brune de type espagnol, la lèvre humide et fine, l’œil presque violet, la poitrine menue, la jambe fine, me fait un petit clin d’œil et me glisse, presque à l’oreille : — Attendez-nous au bar, dans un quart d’heure, on vient vous chercher ? D’accord ? Que répondre à une telle proposition, même si l’on ne sait pas très bien où elle peut vous mener ? Et je vais m’installer au bar. Il faut une bonne demi-heure de voiture et plus de vingt minutes de marche à travers une lande drue pour nous retrouver, silencieusement, au bord d’une sorte de clairière pelée. Un immense cercle nu. Juste une sorte d’herbe rase. Judith se tourne vers moi et me dit à mi-voix : — Voilà, nous allons pénétrer dans le cercle des menhirs disparus. Ici, autrefois, se dressait le temple de la déesse Gaia, mère de la Terre. Pour pénétrer dans le cercle, il faut se dévêtir et être nu, comme au premier jour. D’un ...
    ... rapide coup d’œil, je contemple le paysage qui m’entoure. Déjà, Abel est nu, Judith me tourne le dos et m’offre, à la lumière de la lune étincelante, la vision de son postérieur qu’elle libère de son pantalon, ce qui me permet de voir qu’elle ne porte pas de slip. Après tout, pensé-je, au pire, ce que tu risques, c’est un bon rhume de cerveau, au mieux un coup de lune; et je me déshabille. Nus, nous sommes tous les trois nus. Abel tient la main gauche de Judith qui me tend sa main droite et ensemble, nous pénétrons lentement dans la clairière, gagnons le centre, à pas comptés, en silence, religieusement. Abel, de sa voix grave, à l’accent un peu traînant, me dit : — Suis ce que nous faisons. J’opine de la tête. Arrivés au centre, tout le monde s’agenouille. Judith, seule, fait un léger pas en avant et se prosterne en direction opposée à la lune, ce qui, alors que j’exécute moi aussi une sorte de salut à l’éternité, me fait apercevoir un magnifique spectacle. Entre les fesse rebondies de Judith, tirées par sa position, je peux voir en gros plan sa raie culière, son anus, qui est illuminé par le rayon de lune (qui n’a jamais si bien porté son nom que ce soir-là !) et en dessous, son intimité, nue, les lèvres potelées et luisantes. La vision m’enchante et m’excite ! Au point de faire dresser mon sexe. Un peu gêné, je jette un œil vers Abel, prosterné lui aussi et, quand tout le monde se redresse, je vois bien que lui aussi connaît une jolie érection ! Me voilà rassuré. Et Judith ...
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