Le cercle des menhirs disparus...
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fhh,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
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Oral
Partouze / Groupe
init,
... les bras au ciel, tournée vers la lune pleine et hurle en entamant une sorte de danse irréelle : — Je suis Gaia, la déesse mère… Je suis Gaia, la déesse qui récolte la semence pour fertiliser la Terre… Et tandis qu’elle psalmodie cette phrase, tous les hommes, le sexe entre les doigts, s’approchent de nous et forment un cercle étroit et se masturbent, tout en répétant : — Nous sommes la semence pour Gaia, la déesse mère… Nous sommes la semence pour Gaia, la déesse qui fertilise la Terre… Et Judith semble soudain figée dans son expression, tombe à genoux, les bras au ciel, le visage tourné vers la lune, les seins nus se soulevant au rythme endiablé de sa respiration. Et j’échappe de peu aux premiers jets de sperme qui partent et vont l’arroser. Et ceux qui ne peuvent l’atteindre, essuient leurs mains sur son corps, qu’il me semble voir trembler, tressaillir à ces contacts. Étrange scène, irréelle, fantastique … Et Judith se frotte tout le corps, s’enduit des semences ainsi déversées sur elle, avec délice et délectation. Ses mains glissent sur ses seins qu’elle empoigne par-dessous, les doigts filent rapidement vers les tétons qu’elle manipule avec force et plaisir. Puis elle descend sur les fesses, les cuisses, le ventre, le sexe ; elle brille sous la lumière blanche et crue de la lune… Elle semble se donner du plaisir en se frottant les membres, les fesses, la raie, l’entrejambe, avec ses mains pleines de semence masculine. Puis elle remonte ses mains vers la bouche et en ...
... suce avec application et délectation chaque doigt. En tirant le plus loin possible sa langue, ce qui provoque chez moi une nouvelle érection. Trop occupé à contempler le spectacle de Judith-Gaia, je n’ai même pas remarqué que le cercle des hommes nus s’est écarté et dissout dans la nuit. Obnubilé par le spectacle magique de Judith se massant le corps avec la semence de tous, je suis tout étonné de nous retrouver, soudain, tous les trois, au centre de la clairière. Judith, hors d’haleine, se trémoussant à même un lit de bruyère qui s’étale sous elle et la sépare du sable dont la lande est composée. Abel est à genoux, à côté de Judith, finit d’étaler consciencieusement le reste de sperme sur le corps de sa femme. À moins que ce ne soit pas sa femme ? Peu importe ! Ses gestes sont tendres, attentionnés, émouvants. Je reste là, sans bouger, ahuri par ce spectacle que je viens de vivre. Et les dernières caresses d’Abel sur Judith semblent la calmer, la ramener vers la réalité. Au bout d’un long moment, elle se redresse, semble me sourire et me dit : — Viens, nous allons nous purifier à la source aux Fées ! Sans un mot, un peu stupéfait par cette nouvelle invite, après la séance initiatique, les menhirs virtuels, la douche de sperme et Gaia, pourquoi pas la source aux Fées ! Allons-y ! Et je leur emboîte le pas. Toujours nus, nous traversons la lande et, à quelques minutes de là, au creux d’un petit vallon, sous un vrai dolmen, une cuvette d’eau scintille dans la lune. Judith nous ...