Le cercle des menhirs disparus...
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fhh,
fhhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
inconnu,
bizarre,
vacances,
forêt,
collection,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
Partouze / Groupe
init,
... semble partie dans une sorte d’extase, jouant le rôle d’une prêtresse, à moins que ce ne soit celui d’une druidesse ! Après une série de saluts, accompagnés d’une mélopée incompréhensible, elle se redresse et nous demande de la rejoindre, de nous étendre sur le dos, à ses côtés. Intrigué, je regarde Abel qui s’exécute immédiatement, s’installe, les hanches au niveau de Judith et j’en fais de même. Allongé sur l’herbe fraîche, le sexe droit, la main de Judith s’en empare et commence un lent mouvement de masturbation qui renforce mon excitation, au rythme de sa chanson. À « contre-lune », je vois sa lourde poitrine nue dodeliner et se soulever à l’unisson de ses gestes. Il me semble que ses bouts sont durs et tendus. J’entends aussi la respiration d’Abel qui s’accélère, alors que les doigts qui enserrent mon sexe se resserrent, vont et viennent, font coulisser ma peau tout le long de ma hampe, dans un lent mouvement taquin qui exacerbe mon pénis et lance de grandes ondes électriques dans mon ventre, envoûté par la complainte qu’émet Judith. Sans nous lâcher, Judith change de position. Elle se met accroupie, pose ses pieds, un peu écartés, fesses au ras du sol, cuisses ouvertes. En soulevant légèrement la tête, je peux voir les lèvres de son sexe pendre, légèrement ouvertes, dans le « contre-lune » qui l’éclaire par derrière. Et, tout en continuant à fredonner son air de plus en plus lascif et ensorcelant, elle ne lâche pas nos sexes qu’elle continue à masturber et à manipuler ...
... avec ce rythme lent et émoustillant. A plusieurs reprises, je suis sur le point d’exploser, de me répandre dans l’air, sur ses mains, sur mon ventre. Et chaque fois, Judith anticipe cette montée, ralentissant son va-et-vient, pour reculer la jouissance qui est montée d’un nouveau cran. De temps en temps, je jette un œil vers Abel, dont j’aperçois la figure se contracter. Lui aussi doit être au bord de l’explosion. Soudain, Judith accélère son rythme et mon plaisir explose, fort, violent. Il me semble venir du tréfonds de mon ventre. Jamais je n’avais joui avec une telle violence. D’un coup d’un seul, il me semble que je me vide et que cette jouissance ne va pas s’arrêter. Et, les mains glissantes de mon sperme, Judith continue à me caresser, trayant mon sexe pour en extraire toute sa semence, ce qui a pour effet de relancer ma raideur. Et le chant reprend, lancinant, exaspérant comme la caresse qu’elle m’applique… Enfin elle bouge. Elle se redresse et essuie ses mains sur son corps, comme si elle s’enduisait de crème. Étonné, je la contemple et, en me redressant, je découvre qu’autour du cercle, une douzaine d’hommes sont nus, allongés, le sexe raide ! Et la lune qui commence à descendre porte les ombres des pénis loin sur la lande, comme des menhirs virtuels. Alors, je comprends mieux le terme de « menhir disparu » ! Le sexe à moitié débandé, intrigué par ce spectacle, je reste figé et observe. Judith, le corps en partie luisant de mon sperme et de celui d’Abel, se dresse, ...