Le cercle des menhirs disparus...
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
fhh,
fhhh,
hagé,
fagée,
extraoffre,
inconnu,
bizarre,
vacances,
forêt,
collection,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
Partouze / Groupe
init,
... abandonne presque sur place et court vers la vasque d’eau. Le bras d’Abel me retient, et il m’immobilise à quelques mètres. Judith entre dans l’eau, s’asperge le corps en recommençant ses incantations, se frotte, s’éclabousse et tourne sur elle-même ! On dirait une folle. Oui, c’est ça ! C’est une folle ! Puis Abel relâche son étreinte et me pousse, en me faisant un signe de tête, pour m’inviter à la rejoindre. Mon premier pas dans l’eau glacée, me fait reculer, mais Judith m’a regardé venir à elle. Elle vient, m’attrape la main et me tire à elle. J’entre dans l’eau et je sens d’abord mes membres se glacer, puis elle passe sa main sur mon corps, s’attarde sur mon sexe, tout recroquevillé sous la sensation de froid, et soudain, comme par enchantement, j’ai chaud, très chaud… Curieux phénomène … Et je me mets à bander comme jamais je n’avais encore bandé. J’ai l’impression d’avoir un énorme engin entre les jambes. Judith me force à descendre encore dans l’eau qui monte presque au niveau de mes bourses. Elle s’approche encore de moi et se penche pour cueillir mon sexe dans sa bouche. Une bouche fraîche, profonde, qui m’avale, m’aspire et raidit encore mon excitation. Et elle continue, me mordille, joue avec ma hampe, passe ses doigts sur mes bourses, va me frotter l’anus, me met au comble de l’excitation. Que dois-je faire ? Aller jusqu’au bout, lui donner une nouvelle douche de semence ? Puis-je espérer lui faire l’amour ? Je me laisse faire. Et elle me pousse vers le bord où ...
... le dolmen plonge ses pierres, m’appuie contre la pierre à la fois lisse et rugueuse et s’accroche à une branche d’arbuste qui est là, se hisse en l’air et s’empale sur mon sexe. Je reste ébaubi par cette nouvelle tournure, agréable. Je m’insère dans son intimité humide, glissante qui m’accueille. J’empoigne ses fesses pour la soutenir et l’aider, mais c’est elle qui donne le tempo. Par une savante manœuvre du bassin, elle oscille autour de mon pénis, et de temps en temps, elle entame un va-et-vient montant et descendant, de plus en plus rapide, violent; mes doigts, accrochés à ses fesses, se frayent un chemin vers son petit trou, pointent à l’entrée, elle aussi lubrifiée. Et du bout du doigt, je la sodomise, tandis que sa tête tourne dans tous les sens et que ses seins, frottent mon buste. Puis ma main est prise par la main virile d’un homme. J’ouvre les yeux. Abel est derrière Judith. C’est lui qui retire doucement ma main de ses fesses. Et j’écarte encore plus les deux globes, car je comprends qu’il veut participer à la fête. Et mon sexe sent celui d’Abel qui entre dans le corps. Avec quelques contorsions, nous arrivons à nous coordonner. Quand l’un entre, l’autre sort, et vice-versa. Et Judith maintenant hurle son bonheur, les mains accrochées haut sur les branches, les seins pris par les mains d’Abel, s’empalant sur nos pénis. Il ne nous faut pas longtemps de cette gymnastique aérienne et acrobatique pour arriver à la jouissance qui se fait presque simultanément. Le corps ...