1. Oh! Je suis une putain ! (1)


    Datte: 26/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... splendide, un genre de 4x4 aux vitres fumées, et dès que je m’installe sur le siège passager je sens le fuseau de ma sœur me serrer encore plus les fesses, leur donnant une forme incroyablement ronde. Une fois avoir mis le contact, il me fixe longuement et soupire. — T’as un putain de corps de femme. Et il passe sa main de mon visage, plus précisément mes lèvres qu’il écarte avec son pouce, à mon cou, puis à mon dos, pour finir sur mes fesses. Je me suis même écarté du siège pour lui laisser libre passage ! Sa main veut passer sous mon fuseau mais je l’en empêche. — Un cœur d’ange dans un corps de pute, c’est rare. — Pourquoi tu me parles comme ça ? Je rêve ou je lui ai posé cette question en battant des cils ? Il me regarde en écarquillant les yeux, comme s’il était amoureux et repasse son pouce sur mes lèvres humides. Je lève un sourcil et garde mes lèvres fermées. Je lui repose ma question et il grogne en baissant le frein à main. — On va où ? En lui posant cette question, je me penche en avant et regarde la voiture engager la route. Je suis comme fasciné par le monde extérieur, car cette voiture est si grande que j’ai l’impression d’être surélevé par rapport aux gens qui marchent dans la rue. Personne peut me voir, ni voir la main de ce gars posée sur ma cuisse. J’entrouvre mes lèvres et regarde avec insistance mon conducteur. Ce dernier me regarde un instant et passe sa main sur l’érection qui déforme son jeans. — Arrête de la toucher ! — Quoi ? — Arrête de toucher ta ...
    ... queue, dis-je en croisant les jambes. Arrivés devant ce qui me semble être chez-lui, il se gare dans son garage et on sort en montant quelques marches pour arriver à la porte d’entrée. — Pourquoi tu m’as ramené ici ? Il ne me répond pas et ouvre la porte. Il me laisse entrer et je suis subjugué par la beauté de l’intérieur ! De l’extérieur on dirait une vieille baraque tout ce qu’il y a de plus banale, mais à l’intérieur les meubles sont presque tous en verre cristallin. Tout est blanc et resplendissant de propreté. Les cadres accrochés au mur reflètent un joli goût artistique. Le comptoir dévoile à mes yeux une rangée de boissons alcoolisées et de verres qui n’attendent qu’à être remplis. Le mec baraqué pose sa veste en cuir sur une chaise et reste là, debout, avec une érection qui déforme atrocement son jeans. J’enlève mes bottines parce que j’aime bien marcher pieds nus sur du carrelage froid. J’enlève aussi mon blazer et reste ainsi habillé d’un simple sweat rouge et d’un fuseau gris qui moule affreusement mes fesses, mes cuisses et mes mollets. — Comment tu fais pour avoir un corps aussi parfait ? Je me retourne comme pour confirmer que la question vient bien de lui, et, un doigt entre les lèvres, je décide de répondre d’un simple hochement des épaules. Je marche vers le comptoir et je sens mes fesses rouler ! Je prends un verre et bois un peu de jack. Je sens soudain des mains sur mes hanches et une érection qui frôle mes fesses. Je jette quelques mèches sur le côté de ...