1. Oh! Je suis une putain ! (1)


    Datte: 26/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... mon visage et laisse les mains de ce mec passer de mon petit ventre à mes hanches, puis à mes fesses et sur le haut de mes cuisses. Sa queue est maintenant entre mes fesses, elle est dure et dégage une chaleur qui fait vite de se propager aux quatre coins de mon corps. Il me retourne et me pousse vers le bas. Je descends sur mes genoux, en le scrutant d’un regard inquiet, presque mécontent. — Pourquoi tu es dur comme ça ? je demande dans un soupir, le regard posé sur la barre de fer qui tend son jeans. Il relève mon menton avec son doigt et me crache sur le visage. J’essuie sa salive avec mes doigts et garde ma bouche entrouverte comme par étonnement. Il sort sa bite de son jeans et j’ai un mouvement de recul en voyant sa taille ; environ dix-sept centimètres, mais le plus étonnant est sa grosseur. Je me lève et vais marcher jusqu’au canapé en balançant des hanches je ne sais pour quelle raison, puis m’assois en croisant les jambes comme une femme. Le type vient vers moi et sa bite est à hauteur de mon visage. Sa queue se frotte à mon visage déformé par une grimace pleine de confusion, pendant qu’elle passe sur mes lèvres humides, je parle : — J’adore ton appartement. J’aimerai bien y habiter. — Fais ce que tu veux, mais bordel ; prends ma queue dans ta bouche. — C’est ce que tu veux ? — Putain OUI ! Je passe ma main sur ses abdos, son pubis puis sur la base de sa bite. Les veines qui sillonnent ce morceau de chair… cette odeur salée et ces couilles pendantes…. Pourquoi ...
    ... je salive autant, merde. Il veut que je le suce ? Putain ! Pourquoi je suis monté avec lui dans cette caisse ? C’est un mec ! Je ne l’ai jamais fait auparavant. Les hommes ne m’attirent pas, mais avec lui c’est différent ; j’ai envie de satisfaire ce mec. Je regarde ce sexe d’homme et j’ai envie de le mettre dans ma bouche. Je mets la moitié dans ma bouche et le regarde avec mes yeux marron, ma langue goûte son pré-sperme et le trouve salé et chaud. Je passe cette langue sur sa chair chaude et me délecte de chaque centimètre qui s’enfonce dans ma gorge. fcofuuvw — Oui c’est ça ! grogne-t-il en enlevant son pull et laissant afficher un corps sculpté par la musculation. Je lève un sourcil et essaye de garder les yeux ouverts pendant que je pousse sa queue au fond de ma gorge et la ressors, plusieurs fois, pas entièrement. Le bruit de ma salive sur sa queue raisonne dans le salon. Je suis là, sur son canapé, les jambes croisées comme une femelle à lui pomper le dard. Qu’est-ce qui me prend ? Ma main caresse ma cuisse pendant que l’autre se faufile sur ses abdos bien durs. Je continue à l’avaler, le sucer, le dévorer avec ma langue. Il me remplit la bouche, la gorge et grogne à chaque fois que je gémis pour respirer. Je sors sa bite de ma bouche et me lève. Je lui arrive au menton. Il me retourne sèchement, toujours debout, et me presse les fesses tellement fort que je me mets sur la pointe des pieds et me mords la lèvre pour ne pas crier. — Arrête ! Elles doivent être rouges ...