1. Oh! Je suis une putain ! (1)


    Datte: 26/01/2020, Catégories: Transexuels

    ... maintenant mes fesses ! Je tourne ma tête vers lui, tout en gardant la même position ; sur la pointe des pieds, le dos arqué, le cul ressorti. Je bats des cils et garde ma mine angélique. Il baisse sèchement mon fuseau puis tire dessus pour m’en débarrasser. Je lève docilement une jambe après l’autre pour l’aider, je ne sais pas pourquoi. — Arrête de me déshabiller ! Il fait froid ! — Ça ne va pas tarder. Il me retourne et me roule une galoche légendaire. Sa langue roule sous la mienne et sa main passe sur mes fesses nues. Ah je sens un petit vent froid ! Mais sa main chaude me réchauffe, il ne faut pas qu’il l’enlève, qu’il les enlève ! Comme naturellement, je passe une jambe derrière la sienne. Il m’aide à faire passer l’autre autour de sa taille. Mes cuisses le serrent. Il prend sa bite et veut me la mettre dans le cul. Il me regarde, avec ce regard obnubilé, il ne sait pas ce qu’il doit croire de moi. Il me connait depuis à peine une demi-heure et voilà qu’il s’apprête à m’enculer. Je sens sa queue chaude à l’entrée de mon cul et je gémis. Je le regarde dans les yeux et lui dis : — Pas besoin de me préparer, mets-la moi dans le cul mon chéri, je suis bien ouverte. J’entrouvre mes lèvres et laisse couler un peu de salive que je récolte avec mes doigts. J’induis un peu mon trou avec et dirige sa bite épaisse à l’entrée. Il n’attend pas longtemps et me ...
    ... pénètre. — Arrhhhhhhhhh ! Pourquoi c’est si facile de te pénétrer ? — J’ai un gros cul. MHmm ! Son souffle me brûle le cou et il s’appuie au mur pour mieux me labourer. Il m’allonge sur le canapé et je sens sa queue chaude me remplir, sortir en y laissant un vide, puis rentrer à nouveau. Ça me fait mal, mais cette douleur augmente au même temps que le plaisir, ce qui la rend plus supportable. J’ai les jambes complètement écartées et je gémis comme une jeune fille. Il me baise comme une femelle. Je lui donne ce qu’il veut, j’ai envie qu’il se vide en moi, qu’il me salisse. Je le lui dis et il me murmure qu’il va me défoncer le cul. Il sort de moi, me retourne et me m’encule, comme une chienne, à quatre pattes. Il presse mes fesses et s’en sert pour me tirer vers lui à chaque fois qu’il me la met jusqu’à la garde. — T’es ma pute ! fit-il en me secouant d’une claque sur le cul. Il jouit en moi. Il éjacule dans mes boyaux et me remplit de sperme. Il nous bouscule sur le canapé et continue à donner des derniers à-coups, me remplissant davantage. Quel étalon ! Mon trou du cul se serre autour de sa queue et l’aspire pour demander plus de sperme. Je sens son poids sur mon dos et sa respiration se calmer difficilement. Ce type met sa main autour de mon cou et me mord la lèvre. Je le laisse faire. Je me laisse faire. C’est un homme et je suis sa chienne bien baisée. 
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