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LULU 6
Datte: 29/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme
... de Richard, Pablo décida de tester mes bonnes dispositions. Aidé d’Ingrid il me remit au lit. A deux ils m’échauffèrent. Je ne voulais pas déplaire et participais de mon mieux. Pour montrer mes talents de comédienne, devant eux je dus me masturber selon leurs indications, à genoux, assise ou couchée, un index devant, l’autre sur la rose, ou des deux mains à la fois sur et dans le sexe. Gênée comme jamais. Devant deux témoins je luttais contre ma honte. Eux se réjouissaient de me voir tourmenter mon clitoris, remuer mes doigts dans ma chatte et écoutaient mes soupirs, le halètement accéléré par la montée en température. Et l’orgasme grondait au bout de mes doigts énervés par la lenteur du phénomène. J’aurais aimé exploser vite et en avoir terminé. Je trempais mon index dans ma salive et grattais les zones érogènes, m’acharnais à titiller le bouton qui gardait l’entrée. Pour m’aider Pablo se mit à me sucer les tétons. Sa participation balaya les scrupules qui bloquaient l’éclosion de ma jouissance. Je me sentais moins coupable parce que ce n’était plus le plaisir solitaire devant des spectateurs. Ensuite j’eus un mal incroyable à parvenir à l’orgasme avec mon vibromasseur et Ingrid dut m’apprendre à l’utiliser. Je ne voyais pas le lien entre cette démonstration et mon art d’effeuilleuse. Pablo vint au devant de mes interrogations muettes. J’étais selon lui une fort jolie créature, je devais être une femme complète, capable de tout faire, avec naturel, rien ne devait limiter ...
... mon talent. Ingrid s’était allongée tête-bêche et s’occupait avec la bouche et les doigts à prolonger mon orgasme. Je lui rendais la politesse en fouillant les lèvres épaisses et congestionnées de sa chatte velue, j’apprenais vite et frottais d’un index vif le clitoris majuscule dégagé par mon pouce et mon majeur. Nos ventres répondaient par de petits bonds à l’excitation, notre mouille facilita les contacts. Je sentis la présence de Pablo dans mon dos. Ingrid tira des mains sur mes fesses. Je n’eus pas le temps de refuser, le gland de l’homme frappait à ma petite porte et s’enfonça dans mon cul en m’arrachant un cri de douleur qui fit rire l’allemande. J’étais prise en sandwich entre elle et Pablo qui en position haute savourait le plaisir d’avoir forcé le passage étroit. Et il se mit en mouvement. Je subissais les derniers outrages dans un désarroi augmenté par la souffrance. J’avais le feu au cul au sens propre. La brute forçait, roulait, pestait qu’il m’élargirait le sens interdit et y aménagerait une confortable salle de réception. Heureusement je ne souffrais pas d’hémorroïdes! Mais j’avais mal. Il me consola en déversant sa liqueur séminale en guise de baume réparateur. Au propre et au figuré, j’en avais plein le cul. Satisfait le nouveau patron nous invita à nous reposer. Il reviendrait nous chercher vers quinze heures pour nous conduire sur le théâtre d’opérations. La discussion fut lente et difficile avec Ingrid. Elle aussi était nouvelle, elle aussi rêvait d’être une ...