Paris pour un cadenas de moins
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
noculotte,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
portrait,
... cela ne vous regarde pas.— Vous avez raison. Moi c’est Nicolas.— Tiphanie.— Maintenant, nous avons fait connaissance, dit-il avec un sourire très agréable.— Deux prénoms ne suffisent pas pour nous connaître. Je le regarde seulement à ce moment, comme s’il avait été transparent jusqu’à présent, n’ayant écouté que sa voix. Si j’avais à choisir ce qui m’attire le plus, entre son sourire plein de charme et ses yeux bruns ancrés aux miens, je choisirais… les deux. Pas moyen de me décider : tout me plaît dans son visage. Un air simple, un regard franc. Cela m’affole ! Qu’est-ce que je pense, là. Ce n’est pas moi du tout ! Je suis là pour enlever la dernière trace des promesses d’amour que mon mari a bafouées et je parle à un inconnu qui me fait craquer. C’est exactement ça : je suis attirée par lui ! S’il a lâché ses phéromones, je dois constater que je les ai reçues en plein nez, sur ma peau. Tout en moi me dit qu’il me plaît. Je reviens sur terre au moment où il me souffle au creux de l’oreille : — J’aime la façon dont vous me contemplez, et vous penchez joliment la tête quand vous êtes absorbée ainsi. Savez-vous que je vois tout en vous comme dans un livre ? Mais pour ne pas vous désavantager, je vous laisse regarder au fond de moi.— Comment faire ? Vous me gênez…— Si j’approche mes lèvres de votre bouche, Tiphanie, pour vous dire ce que je pense, allez-vous me repousser ?— J’espère que oui !— Vous n’en êtes pas sûre ?— Non ! Vous me plaisez. Je suis folle, carrément. Mais ...
... pourquoi avoir dit cela ? Et son sourire qui me captive, je dois m’en détacher absolument. Quelle torture entre mes sens qui s’affolent et ma raison qui me dit autant de résister que de me laisser aller. Mais où, aller où ? Un baiser et« au revoir » ? Une caresse douce et puis« non merci » ? Une pensée pour mon mari suffit à me faire basculer. Et dans un souffle, je rajoute : — Si j’avance moi aussi mes lèvres vers vous, il suffira d’attendre quelques secondes pour voir ce qui se passe.— Il ne se passera rien, sauf si vous me demandez que je vous embrasse. L’impensable arrive. Je rapproche ma tête et lorsque ma bouche se trouve à quelques centimètres de la sienne, je le supplie : — Avec de la passion. Je veux de la passion, pour brûler tout ce qui est en moi qui pourrait vous résister.— Comme cela ? Juste à ce moment, quand il prend mon visage entre ses mains et qu’il dévore ma bouche, c’est une sensation diablement agréable qui m’envahit. Tout d’abord sur ma peau avec de petits frissons qui me parcourent. Je tremble. Puis, en prenant une grande inspiration, ma poitrine vibre de bien-être. Que c’est bon de sentir la seconde d’après mes seins qui durcissent… Enfin, la chaleur arrive du tréfonds de mon ventre et mon désir mouille ma culotte. Rien d’autre ne nous entoure que le silence. Rien d’autre sur notre passage que les gens qui n’existent plus. Peu importe ce qu’il pense : j’ai juste envie d’être aimée avec ce qui ne peut pas me faire souffrir, puisqu’il ne touche pas mon cœur. ...