Paris pour un cadenas de moins
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
noculotte,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
portrait,
... il tend mon collant, le raidissant entre ses mains à hauteur de mes yeux comme s’il s’agissait d’une corde. Nicolas me demande d’une voix suave : — Approche tes poignets de ce lien improvisé, Tiphanie. Ce n’est qu’un jeu et je ne suis jamais brusque, même si une femme me le demande. Sans êtes sadique, tu veux que je sois un doux tortionnaire pour toi ?— Tu veux m’attacher, Nicolas ?— Oui !— Si à aucun moment tu ne me forces et si tu ne me fais pas mal, je ferai tous les jeux et t’en demanderai aussi. Nicolas m’attache les poignets avec mon collant, mais d’une manière suffisamment lâche pour que je puisse enlever le lien si je le veux. Je n’ai aucune crainte, même si ma petite voix intérieure me murmure de temps en temps que je suis déraisonnable de me réjouir d’échanges érotiques et sexuels de ce genre avec un inconnu. Nous avons commencé selon notre volonté à tous deux, et il n’est pas question que je m’arrête en si bon chemin ! —oooOooo— M’ayant attachée ainsi par les mains, il attrape le lien fait avec mon collant et me demande de retourner dans la rue avec lui ; l’entrée du bâtiment est à quelques mètres. Il ouvre l’immense porte bleue qui donne sous un porche glacial. Cinq minutes plus tard, il pousse la porte de son appartement et lâche le collant en me demandant d’entrer. Il retire le lien juste le temps d’enlever mon blouson, puis replace mon collant autour des poignets. — Installe-toi confortablement sur le canapé, ou sur le fauteuil, comme tu veux, me propose-t-il. ...
... Que veux-tu boire, du chaud ou du froid ? Garde le lien, c’est mieux. Je te ferai boire.— Le fauteuil, je préfère. Un thé, tu as ?— Oui j’ai. Vert, aux fruits, saveur du soir ? Hardie, mais pas trop, la jolie dame, n’est-ce pas ? Sur le canapé, tu craignais que je sois trop près de toi ?— Fruits de la passion, je veux bien ! C’est ma réponse un peu provoc, puis j’adoucis ma voix : — Je plaisante. Un thé vert, ce sera parfait, mais dans un bol. Tu m’as laissé le choix, non ? Alors, pas besoin de me justifier, ni de m’expliquer.— Bien, madame la volcanique. Je reviens vite, crois-moi ! Je le vois s’affairer dans sa petite cuisine ouverte à l’américaine. Nous discutons de nos vies. Il a trente-huit ans, est divorcé et a deux enfants qui vivent avec leur mère. Une tromperie de sa femme, puis elle a fait ses valises la semaine suivante, emmenant ses deux petits sans lui demander son avis. Il n’a rien dit sur le coup. On ne se déchire pas pour l’amour des enfants, surtout devant eux. Il aime l’amour. Celui de père avant tout. Celui d’homme ensuite, avec le cœur et avec les tripes. Pour le moment, il se passe de sentiments et se satisfait grandement d’une conquête de temps en temps, faite avec subtilité, encore plus belle pour lui que les affaires de sexe, même s’il aime faire l’amour. Un an sans personne, puis ce soir il est tombé sur elle. Heureux, il me le dit : il est heureux, là, tout de suite. Puis il enchaîne en mettant un mouchoir sur sa sensibilité : — Le thé est prêt. Tu ...