Paris pour un cadenas de moins
Datte: 19/09/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
noculotte,
Masturbation
Oral
69,
pénétratio,
hdanus,
jeu,
attache,
yeuxbandés,
portrait,
... le prends avec du sucre ?— Une sucrette, si tu as.— Je n’ai pas. Alors, des petits biscuits secs, tu vas me dire non ?— Si tu me prends par la gourmandise, je ne vais pas résister !— Pour te satisfaire, c’est tout de suite ?— Oui ! Nicolas revient avec un plateau où tout est servi et le pose sur la petite table. Nous boirons la même chose, et partagerons les gâteaux. Il vient vers moi, s’installe accroupi entre mes jambes que j’ai écartées bien volontiers dès qu’il s’est approché. Il casse un morceau de friandise qu’il me glisse dans la bouche, puis pose ses avant-bras contre mes cuisses en me regardant manger. Puis un deuxième morceau de gâteau. — Et toi, tu me manges pas ?— Si tu veux que je mange quelques bouchées, il va falloir que je t’attrape. Tu me laisses faire ?— Uhmmmm… Est-ce moi, la gourmandise ?— Pas tout à fait ! Que cet homme est beau, souriant ainsi et tentant, très tentant, car j’ai envie de le dévorer autant que de me laisser faire. Il s’est relevé aussitôt ma bouchée avalée. Je sens sa force quand il tend ses muscles pour me prendre dans ses bras. Je me sens légère en constatant qu’il m’enlève dans les airs avec une telle facilité, puis il me pose délicatement sur le canapé. — J’ai bien fait de choisir le fauteuil, car je n’aurais voulu rater ce kidnapping pour rien au monde. Que vas-tu faire maintenant ?— Te bâillonner les yeux, puis relever ta jupe jusqu’au nombril.— Ensuite ?— Ça se passe de mots. —oooOooo— Un simple foulard suffit à me plonger dans le ...
... noir. Il a relevé ma jupe comme promis. — Il fait doux dans la pièce, je n’ai pas froid. C’est ce que je lui dis lorsqu’il me demande si je veux plus de chauffage. Je tends les oreilles. Il me semble qu’il casse des gâteaux. Un bruit craquant qui me donne envie. Il vient s’agenouiller à hauteur de mon ventre. Mon amant – autant l’appeler ainsi, au point où nous en sommes – mon amant, donc, met une main sur mon sexe que je sens dégoulinant. Et l’instant d’après, il humidifie la zone de mon nombril avec ma mouille puis il dépose sur ma liqueur des miettes de gâteau. Il recommence ainsi jusqu’à mon pubis en continuant de faire un chemin de gourmandise. Mes poils retiennent eux aussi quelques petits morceaux. Oui, j’ai la sensation que là, près de mon ouverture, les morceaux sont un peu plus gros ; pas des miettes, en tout cas. Je comprends bien à présent la différence subtile qu’il y a entre« être la gourmandise » dont il peut se nourrir, et« servir de réceptacle » de mon ventre jusqu’au sexe. J’espère seulement qu’il deviendra assez malpoli pour lécher le plat jusqu’à la dernière miette. Il a raison, Nicolas ; ça se passe de mots. Je ressens, je vis, je vibre, je m’abandonne sans rien dire. Un délice quand il commence son repas, une extase quand il finit par téter, lécher, aspirer toutes les petites miettes. Parfois il me mordille pour attraper les plus gros morceaux. Il gémit, lui aussi, et sa manière gutturale de lâcher son plaisir me plaît. Les yeux bandés, tout est plus fort ...