Cocu content mais pas trop. Voire pas du tout (4)
Datte: 20/09/2017,
Catégories:
Hétéro
... superbe BMW série 7 qui nous attends. — On ne se refuse rien ! Dis-je jaloux. J’aime les belles voitures et j’ai presque failli gaffer en parlant de son métier alors que j’étais censé ne pas le connaître. C’est le coup de coude de Mathilde dans les omoplates qui m’a empêché de finir ma phrase — Oui depuis le décès de ma femme, je ne me refuse plus rien. La vie est trop courte et j’ai la chance d’avoir bien préparé ma retraite. Je fais monter Mathilde derrière qui malgré son désintérêt total pour l’automobile trouvait celle-ci particulièrement belle. Moi je n’en croyais pas mes yeux. J’aurais donné n’importe quoi pour avoir la même. Arrivé devant la maison, il est déjà 4h30 du matin, Mathilde, bien éméchée, lui propose de boire un dernier verre en me regardant sachant que je ne suis pas très sociable, j’acquiesce, Mathilde me félicite de cet élan de savoir-vivre qui ne me caractérise pas, surtout à cette heure. Bien sûr il accepte. Mathilde sourit et dit : — Allez champagne pour tout le monde. Bernard éclate de rire, détendu et serein, comme si tout était normal. — Quelle santé !!! Dit-il. Il l’attrape par la taille et l’accompagne jusqu’à la porte d’entrée. Je suis nerveusement, mais confiant. Je suis sûr de mon coup. Elle ne cèdera pas, malgré l’alcool, je suis sûr qu’elle le repoussera. On entre dans le salon, Bernard et Mathilde s’installent dans le canapé pendant que je vais chercher le champagne. Je mets les coupes sur la table basse et fais le service. On trinque et ...
... on commence à discuter de tout et de rien. Des enfants, du boulot, de nos passe-temps. Je vois le regard de Bernard détailler le corps de Mathilde dont la jupe est remontée et laisse voir la lisière de ses bas, elle a défait un bouton de son chemisier, offrant une vue imprenable sur son décolleté. Bernard n’en perd pas une miette. Je mets un peu de musique douce, histoire de me détendre. Bernard saute sur l’occasion pour la faire danser. Décidément, il est vraiment doué pour s’attirer les grâces de Mathilde. Ils dansent enlacés doucement, il a les mains sur ses hanches et elles sur ses épaules. Il caresse le haut de ses jambes, son dos, lorgnant franchement dans son chemisier. -J’adore votre soutien-gorge. J’adore ces soutiens-gorges qui n’enveloppent que le galbe des seins et laisse libres les tétons. Dit-il — C’est mon mari qui me l’a offert, je ne le mets quasiment jamais. Il a insisté pour que je le mette aujourd’hui. Répond-elle en rougissant. — Et bien ma chère Mathilde, votre mari a très bon goût et il a bien eu raison, car il vous va à ravir. Mathilde, toute rouge, lui sourit, sans même un regard dans ma direction. Elle se cambre fièrement comme pour lui en montrer davantage. Moi, je suis fou, je bois, sans doute plus que de raison. Quand ils reviennent, j’ai fini la bouteille de champagne et en ouvre une autre. Je me décide à lancer les hostilités. — Et votre femme ? Surpris pas la question. Il me fusille du regard. — Non mais t’es con ou quoi !!! Eructe Mathilde. Je ...