À la bibliothèque
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
école,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
occasion,
extraconj,
vêtements,
... s’était recouchée et elle se rendormit très rapidement. Lorsque nous nous éveillâmes, elle me fit une bise sur la joue. — Merci d’avoir dormi avec moi, me dit-elle. Puis, au bout de quelques instants : — J’ai fait un rêve érotique cette nuit. J’ai rêvé que je suçais un garçon et ça m’a drôlement excitée. Regarde comme je suis mouillée, ajouta-t-elle, saisissant ma main et l’amenant entre ses cuisses qu’elle tenait largement ouvertes. Que faire ? Car effectivement elle était mouillée. Comme nous étions couchés côte à côte je laissai ma main sur son sexe. Pliant légèrement le doigt et le glissant entre ses poils et entre ses lèvres, je lui dis : — Dis donc, il était drôlement érotique ton rêve. Il y a une humidité là-dedans ! Puisque je suis dedans, et qu’elle ne me chasse pas, continuons. Mon doigt s’insinue, cherche et trouve son clitoris, tout lisse, dressé, prêt à réagir à ce contact. — C’est pas si mal, c’est même très bon, me dit-elle. Tu vois, j’aurais aimé que le garçon que j’ai sucé en rêve me fasse ça.— Mais tu peux très bien sucer le garçon qui te fait ça, lui répondis-je. C’est à croire qu’elle n’attendait que mon feu vert. Elle se retrouva à genoux, sa bouche retrouvant mon sexe et mon doigt retrouvant le sien. — C’est incroyable ! Tu as exactement le même goût que dans mon rêve, souffla-t-elle, m’ayant lâché un instant.— J’aimerais bien connaître ton goût à toi, lui répondis-je. Sans une hésitation son sexe se retrouva sur ma bouche et le mien dans sa bouche. ...
... Mon dieu que de poils ! Je dus, de la main les écarter pour savourer pleinement ce fruit offert à ma gourmandise. Je sentis qu’elle ne restait pas indifférente aux soins prodigués par ma langue. — C’est extra ! dit-elle me lâchant à nouveau un instant. Et elle jouit rapidement, soupirant, soufflant mais suçant tant et si bien que je ne pus me retenir plus longtemps. Comme cette nuit, elle ne me lâcha que lorsque l’érection eut totalement disparu et que plus une goutte ne subsista. — C’était mieux qu’en rêve, conclut-elle, se laissant tomber près de moi. La douche, comme le jacuzzi, était immense et nous accueillit pour une toilette dont je ressortis propre, vidé, essoré, masturbé. Mes mains ne restèrent pas inactives pour le plus grand plaisir de mon hôtesse qui cria beaucoup lorsque mes doigts s’immiscèrent simultanément partout où il était possible. C’est un peu fatigués que nous arrivâmes à la bibliothèque mais la passion de notre travail reprit rapidement le dessus. Anne-Lise me présenta tout de même, et à plusieurs reprises, la jolie culotte que j’avais choisie moi-même ce matin, ce qui ne me laissa absolument pas indifférent. Après le déjeuner elle dut, une nouvelle fois, escalader son échelle me demandant de regarder ce qu’elle allait me montrer. La coquine avait, sans que je m’en rende compte, quitté sa culotte et c’est donc nue sous sa jupe qu’elle se trouvait. — Viens ! me dit-elle, se tournant pour me faire face et s’arrangeant pour que mon visage soit à la bonne ...